« Si le groupe Bolloré se développe en Afrique, c’est parce qu’il prend des risques. » Le milliardaire breton aime à magnifier son audace entrepreneuriale sur le continent où son groupe a enregistré 2,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2017.
Dans les rues d’Abidjan, de Conakry, de Lomé ou d’autres villes où son groupe gère en tout dix-huit terminaux à conteneurs, il incarne pourtant, pour la jeunesse populaire comme pour la nouvelle élite, une « Françafrique » désuète et anachronique. Vincent Bolloré n’en a cure et confiait volontiers au Monde que les méthodes de son groupe relèvent plus du « commando que de l’armée régulière ».
Le capitaine d’industrie, ami personnel de l’ancien président Nicolas Sarkozy et de chefs d’Etat... suite de l'article sur LeMonde.fr
Dans les rues d’Abidjan, de Conakry, de Lomé ou d’autres villes où son groupe gère en tout dix-huit terminaux à conteneurs, il incarne pourtant, pour la jeunesse populaire comme pour la nouvelle élite, une « Françafrique » désuète et anachronique. Vincent Bolloré n’en a cure et confiait volontiers au Monde que les méthodes de son groupe relèvent plus du « commando que de l’armée régulière ».
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