Abidjan - La Banque ouest-africaine de développement (BOAD) souhaite hisser à 50 milliards FCFA le montant des ressources climat qu’elle mobilise chaque année, a annoncé son président, Christian Adovelande.
"L’objectif visé est de porter la mobilisation de ressources climat à 50 milliards FCFA par an d’ici 2021", a dit M. Adovelande sur le site de la BOAD.
D’après l’Agence de presse sénégalaise (APS) qui donne l’information, la BOAD a engagé diverses diligences visant à accroître le portefeuille de projets Climat susceptibles d’être soumis aux mécanismes financiers de la Convention-Cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC).
"Les premiers résultats ont été obtenus en 2017, avec la mobilisation des ressources climat sous forme de don de 1,3 milliards FCFA auprès du Fonds pour l’environnement mondial (FEM) en faveur de la promotion des énergies renouvelables au Togo", selon Adovelande. Dans le même temps, 4,9 milliards FCFA ont été obtenus auprès du Fonds pour l’adaptation (FA) en faveur de la promotion d’une agriculture climato-intelligente en Guinée Bissau.
Il a rappelé que la BOAD fait partie du club mondial des banques de développement "IDFC" (International development finance club). Ce club est composé des 23 principales banques de développement du Nord et du Sud, dont la Brésilienne BNDES, la latino-américaine CAF, la CDG marocaine, la DBSA sud-africaine, la CDB chinoise ou encore la JICA nippone).
La BOAD a intégré, dès 2003, les questions environnementales et sociales dans ses opérations. Sa vision consiste à œuvrer à l’horizon 2020 pour des ressources naturelles gérées au profit d’un développement propre et résilient aux effets des changements climatiques dans les États membres.
Elle s’est inscrite ainsi dans les orientations définies lors du Sommet de Rio en 2012 sur le développement durable, en adoptant en 2014 une Stratégie Environnement et Climat 2015-2019 dont les grandes lignes reposent essentiellement sur trois axes.
La BOAD occupe un siège d’observateur à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) depuis 2009. Elle héberge en son sein un Centre régional de collaboration (CRC – Lomé) mis en place en partenariat avec la CCNUCC.
(AIP)
sdaf/cmas
"L’objectif visé est de porter la mobilisation de ressources climat à 50 milliards FCFA par an d’ici 2021", a dit M. Adovelande sur le site de la BOAD.
D’après l’Agence de presse sénégalaise (APS) qui donne l’information, la BOAD a engagé diverses diligences visant à accroître le portefeuille de projets Climat susceptibles d’être soumis aux mécanismes financiers de la Convention-Cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC).
"Les premiers résultats ont été obtenus en 2017, avec la mobilisation des ressources climat sous forme de don de 1,3 milliards FCFA auprès du Fonds pour l’environnement mondial (FEM) en faveur de la promotion des énergies renouvelables au Togo", selon Adovelande. Dans le même temps, 4,9 milliards FCFA ont été obtenus auprès du Fonds pour l’adaptation (FA) en faveur de la promotion d’une agriculture climato-intelligente en Guinée Bissau.
Il a rappelé que la BOAD fait partie du club mondial des banques de développement "IDFC" (International development finance club). Ce club est composé des 23 principales banques de développement du Nord et du Sud, dont la Brésilienne BNDES, la latino-américaine CAF, la CDG marocaine, la DBSA sud-africaine, la CDB chinoise ou encore la JICA nippone).
La BOAD a intégré, dès 2003, les questions environnementales et sociales dans ses opérations. Sa vision consiste à œuvrer à l’horizon 2020 pour des ressources naturelles gérées au profit d’un développement propre et résilient aux effets des changements climatiques dans les États membres.
Elle s’est inscrite ainsi dans les orientations définies lors du Sommet de Rio en 2012 sur le développement durable, en adoptant en 2014 une Stratégie Environnement et Climat 2015-2019 dont les grandes lignes reposent essentiellement sur trois axes.
La BOAD occupe un siège d’observateur à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) depuis 2009. Elle héberge en son sein un Centre régional de collaboration (CRC – Lomé) mis en place en partenariat avec la CCNUCC.
(AIP)
sdaf/cmas