APA - Le Directeur général de l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), Dr Sidiki Cissé a estimé, mardi à Abidjan que «la production (ivoirienne) de la noix de cajou va doubler» si les producteurs réhabilitent tous les vergers.
Il s’exprimait, lors de la réception de matériels de réhabilitation destinés aux producteurs de cajou à l’initiative du Conseil coton-anacarde. « Plus de 80% de nos plantations sont des forêts denses d’anacardiers. La production de noix de cajou va doubler si les producteurs réhabilitent tous ces vergers », a expliqué M. Cissé.
Poursuivant son argumentation, l’expert précise que «la qualité de la noix connaîtra une amélioration significative car l’éclaircie réduit l’humidité dans les plantations, réduit les attaques des maladies et l’action des insectes nuisibles».
Selon Sidiki Cissé, «il est pratiquement impossible aux producteurs de procéder à l’abattage, à la hache des arbres indésirables, improductifs dans le but de réhabiliter les plantations » d’où l’opportunité d’une telle action du Conseil Coton-anacarde.
Le Directeur général du Conseil coton-anacarde, Dr Adama Coulibaly a souligné qu’il s’agit de matériels « d’appui à la formation portant sur la réhabilitation des vergers d’anacardiers afin de faciliter la formation, l’encadrement et la démonstration technique sur les sites de formation situés dans les zones de productions de l’anacarde ».
Cette démarche qui regroupe plusieurs acteurs notamment le Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (FIRCA) et le Projet d’appui au secteur agricole (PSAC), s’inscrit dans la vision des autorités étatiques « de rendre l’agriculture ivoirienne plus compétitive et moderne », « met l’accent particulier sur la recherche et le conseil agricole ».
Des tronçonneuses, des limes, des sécateurs, des gants et pulvérisateurs constituent entre autres ce matériel de réhabilitation de vergers destiné à 274 parcelles pour le plan d’action 2018 dudit projet.
La Conseil coton-anacarde prévoit une production de 750.000 tonnes pour la campagne commerciale 2018 dont 100.000 tonnes destinées pour l’industrie locale et 650.000 pour l’exportation. La Côte d’Ivoire a réalisé lors de la campagne précédente 711.236 tonnes, représentant 22% de la production mondiale.
SY/ls/APA
Il s’exprimait, lors de la réception de matériels de réhabilitation destinés aux producteurs de cajou à l’initiative du Conseil coton-anacarde. « Plus de 80% de nos plantations sont des forêts denses d’anacardiers. La production de noix de cajou va doubler si les producteurs réhabilitent tous ces vergers », a expliqué M. Cissé.
Poursuivant son argumentation, l’expert précise que «la qualité de la noix connaîtra une amélioration significative car l’éclaircie réduit l’humidité dans les plantations, réduit les attaques des maladies et l’action des insectes nuisibles».
Selon Sidiki Cissé, «il est pratiquement impossible aux producteurs de procéder à l’abattage, à la hache des arbres indésirables, improductifs dans le but de réhabiliter les plantations » d’où l’opportunité d’une telle action du Conseil Coton-anacarde.
Le Directeur général du Conseil coton-anacarde, Dr Adama Coulibaly a souligné qu’il s’agit de matériels « d’appui à la formation portant sur la réhabilitation des vergers d’anacardiers afin de faciliter la formation, l’encadrement et la démonstration technique sur les sites de formation situés dans les zones de productions de l’anacarde ».
Cette démarche qui regroupe plusieurs acteurs notamment le Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (FIRCA) et le Projet d’appui au secteur agricole (PSAC), s’inscrit dans la vision des autorités étatiques « de rendre l’agriculture ivoirienne plus compétitive et moderne », « met l’accent particulier sur la recherche et le conseil agricole ».
Des tronçonneuses, des limes, des sécateurs, des gants et pulvérisateurs constituent entre autres ce matériel de réhabilitation de vergers destiné à 274 parcelles pour le plan d’action 2018 dudit projet.
La Conseil coton-anacarde prévoit une production de 750.000 tonnes pour la campagne commerciale 2018 dont 100.000 tonnes destinées pour l’industrie locale et 650.000 pour l’exportation. La Côte d’Ivoire a réalisé lors de la campagne précédente 711.236 tonnes, représentant 22% de la production mondiale.
SY/ls/APA