APA - Le président du Groupement des éditeurs de presse de Côte d'Ivoire (GEPCI), Patrice Yao, a souhaité jeudi un « régime fiscal particulier » du secteur vu la situation «difficile» que connaissent les entreprises, à l’issue d’un échange avec le directeur général des impôts, Abou Sié Ouattara.
« La situation fiscale des entreprises de presse au niveau général est difficile, c’est pourquoi nous avons proposé que ce secteur puisse bénéficier d’un régime fiscal particulier», a dit Patrice Yao, au terme d’un exposé du directeur général des impôts sur le dispositif fiscal du secteur.
Pour stabiliser les activités des entreprises de presse, le Gepci compte réunir « assez rapidement » les éditeurs, les imprimeurs et les acteurs en charge de la distribution pour faire l’état des lieux et formuler des propositions globales, a-t-il ajouté.
Cette rencontre en vue ne va pas seulement concerner les éditeurs de presse mais « l’ensemble du secteur et je pense que cela pourrait être bénéfique pour le secteur des médias », a-t-il poursuivi, avant d’ajouter « nous sommes totalement disposés à un rapprochement ».
« Je crois que c’est ce que nous allons faire et il y a des discussions, des échanges qui sont entamés », pour poursuivre les réflexions, a fait savoir le président du Gepci, qui compte s’y « atteler assez rapidement » pour porter ce problème.
« Pour nous, c’est comment travailler à rendre le secteur viable et que les éditeurs de presse puissent travailler à sauvegarder les emplois », a dit Patrice Yao, face à des journalistes. Cette action vise à consolider les activités des médias qui bénéficient, chaque année, d’une subvention de l’Etat.
Pour sa part, le directeur général des impôts, Abou Sié Ouattara, s’est félicité de cette rencontre qui a permis d’entretenir les membres du Gepci sur la fiscalité applicable au secteur de la presse et entrevoir en fonction des difficultés « l’assistance et les conseils » à apporter.
M. Ouattara répondait à une invitation du Gepci. Au cours des échanges, il a amené les chefs d’entreprises de presse et les acteurs du secteur à « comprendre et appliquer la législation fiscale» . Il a par ailleurs fait des « propositions » pour une gestion fiable des organes de presse.
LB/ls/APA
« La situation fiscale des entreprises de presse au niveau général est difficile, c’est pourquoi nous avons proposé que ce secteur puisse bénéficier d’un régime fiscal particulier», a dit Patrice Yao, au terme d’un exposé du directeur général des impôts sur le dispositif fiscal du secteur.
Pour stabiliser les activités des entreprises de presse, le Gepci compte réunir « assez rapidement » les éditeurs, les imprimeurs et les acteurs en charge de la distribution pour faire l’état des lieux et formuler des propositions globales, a-t-il ajouté.
Cette rencontre en vue ne va pas seulement concerner les éditeurs de presse mais « l’ensemble du secteur et je pense que cela pourrait être bénéfique pour le secteur des médias », a-t-il poursuivi, avant d’ajouter « nous sommes totalement disposés à un rapprochement ».
« Je crois que c’est ce que nous allons faire et il y a des discussions, des échanges qui sont entamés », pour poursuivre les réflexions, a fait savoir le président du Gepci, qui compte s’y « atteler assez rapidement » pour porter ce problème.
« Pour nous, c’est comment travailler à rendre le secteur viable et que les éditeurs de presse puissent travailler à sauvegarder les emplois », a dit Patrice Yao, face à des journalistes. Cette action vise à consolider les activités des médias qui bénéficient, chaque année, d’une subvention de l’Etat.
Pour sa part, le directeur général des impôts, Abou Sié Ouattara, s’est félicité de cette rencontre qui a permis d’entretenir les membres du Gepci sur la fiscalité applicable au secteur de la presse et entrevoir en fonction des difficultés « l’assistance et les conseils » à apporter.
M. Ouattara répondait à une invitation du Gepci. Au cours des échanges, il a amené les chefs d’entreprises de presse et les acteurs du secteur à « comprendre et appliquer la législation fiscale» . Il a par ailleurs fait des « propositions » pour une gestion fiable des organes de presse.
LB/ls/APA