Abidjan- Le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a annoncé que le travail de la diplomatie iranienne est de faire en sorte que les Européens respectent les engagements qu’ils ont pris lors de la signature du Plan global d’action conjoint sur le nucléaire iranien, (PGAC) sans placer leur espoir en eux, a rapporté jeudi l’Agence de presse iranienne (Irna).
« Depuis sa signature, les Européens considérait le Plan global d’action conjoint sur le nucléaire iranien comme une réalisation importante, mais ils ne sont peut-être pas prêts pour sa mise en œuvre et ils n’étaient assurément pas capable de faire face aux sanctions (extraterritoriales) américaines. Les Européens ont fait peut-être quelques efforts, mais ils restent insuffisants, comme l'a dit le Guide suprême de la Révolution », a-t-il déploré.
« Etant donné qu'il était impératif que les Européens soient contraints d’honorer leurs engagements, nous avons continué à travailler avec l'Europe sur le plan diplomatique, mais nous n'avons jamais placé notre espoir en eux », a-t-il ajouté.
M. Zarif a précisé que c’est pourquoi, ces dernières années et même au début de la signature de l’accord nucléaire, les pays les plus fréquentés par lui et le président Hassan Roahni étaient les pays voisins qui sont leurs anciens partenaires, comme la Russie, la Chine, la Turquie ou encore l’Irak en focalisant sa politique sa politique étrangères vers ces pays.
sdaf/cmas
« Depuis sa signature, les Européens considérait le Plan global d’action conjoint sur le nucléaire iranien comme une réalisation importante, mais ils ne sont peut-être pas prêts pour sa mise en œuvre et ils n’étaient assurément pas capable de faire face aux sanctions (extraterritoriales) américaines. Les Européens ont fait peut-être quelques efforts, mais ils restent insuffisants, comme l'a dit le Guide suprême de la Révolution », a-t-il déploré.
« Etant donné qu'il était impératif que les Européens soient contraints d’honorer leurs engagements, nous avons continué à travailler avec l'Europe sur le plan diplomatique, mais nous n'avons jamais placé notre espoir en eux », a-t-il ajouté.
M. Zarif a précisé que c’est pourquoi, ces dernières années et même au début de la signature de l’accord nucléaire, les pays les plus fréquentés par lui et le président Hassan Roahni étaient les pays voisins qui sont leurs anciens partenaires, comme la Russie, la Chine, la Turquie ou encore l’Irak en focalisant sa politique sa politique étrangères vers ces pays.
sdaf/cmas
