L’interpellation et le placement en garde à vue de cinq activistes et d’un journaliste, en début de semaine, inquiète au sein des organisations de la société civile. Celles-ci pointent notamment les effets du nouveau code pénal, accusé d'être « restrictif sur les libertés individuelles ».
Mardi 23 juillet six personnes – cinq activistes et un journaliste – ont été arrêtées à quelques encablures de la Commission électorale nationale indépendante (CEI) à Cocody, à Abidjan, alors qu’ils se rendaient dans cette institution pour répondre à un rendez-vous officiel. Placés en garde à vue à la préfecture de police, ils ont été libérés vingt-quatre heures plus tard, sans qu’aucun motif précis ne leur soit signifié, ont-ils affirmé.
Samba David,... suite de l'article sur Jeune Afrique
Mardi 23 juillet six personnes – cinq activistes et un journaliste – ont été arrêtées à quelques encablures de la Commission électorale nationale indépendante (CEI) à Cocody, à Abidjan, alors qu’ils se rendaient dans cette institution pour répondre à un rendez-vous officiel. Placés en garde à vue à la préfecture de police, ils ont été libérés vingt-quatre heures plus tard, sans qu’aucun motif précis ne leur soit signifié, ont-ils affirmé.
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