Où trouve-t-on l’opposition ivoirienne dans ce pays ? Ne cherchez pas loin. Elle a peur du terrain politique et est exclusivement cantonnée dans les salons douillets des résidences cossues d’Abidjan.
L’opposition au pouvoir Ouattara souffre de deux maladies chroniques : son immobilisme et sa prédilection pour la violence politique. Les opposants au régime du président Alassane Ouattara n’ont pas compris jusqu’aujourd’hui que pour remporter une élection, il faut aller à la rencontre des électeurs là où ils se trouvent. Seul le RHDP a très tôt compris cette nécessité impérieuse et investit le terrain quand s’impose le moment de leur parler, de maintenir le contact avec la base. Une élection se gagne dans tous les pays du monde en étant régulièrement sur le terrain pour tisser sa toile d’araignée et donc pour ratisser large. Mais que constatons-nous en Côte d’Ivoire avec ces opposants des salles et salons climatisés d’Abidjan ? Leur terrain de prédilection se résume aux colonnes des journaux qui les accompagnent dans leurs errements et divagations, juste parce que ces opposants sont conscients de leurs limites et tares congénitales. Alors pour montrer que cette opposition existe, elle donne de la voix seulement à travers des conférences et points-presse dans les grands hôtels d’Abidjan. Aux journalistes de relayer leurs discours haineux, racistes et diviseurs. Ils ont une haute idée d’eux-mêmes, sont imbus de leur personne. Ils refusent de ‘’mouiller le maillot’’, de se salir au contact de ces parias du bled ivoirien qu’on appelle électeurs. Ils sont donc tous cantonnés à Abidjan et demain, ils seront les premiers à crier à l’usage de la ‘’technologie électorale’’, c'est-à-dire à la fraude pour leur voler la victoire. Mais diantre, quant on n’a pas laborieusement et constamment investi le terrain, quel électeur peut-on séduire et convaincre de voter pour vous ? C’est le contact permanent, une campagne de proximité, un corps à corps avec le votant qui constituent la clé de la victoire demain. Le RHDP a la sagesse politique d’user de ce triptyque : contact permanent, campagne de proximité et corps à corps. A part quelques tournées sporadiques de l’ancien Premier ministre Pascal Affi N’Guessan, le gros lot des opposants au régime est rongé par deux ‘’cancers’’ : son immobilisme et ses pannes sèches d’idées qui les poussent dans maintes divagations et sorties de route bien risquées pour la cohésion sociale. Ils souffrent tous d’une autre congénitale : la complotite. Battre le pavé à Abidjan constitue l’une de leurs stratégies politiques. Cantonnés, limités, concentrés dans le District autonome d’Abidjan, ils attendent bonnement après les résultats pour certainement appeler leurs militants à descendre en masse dans la rue pour prendre le pouvoir qu’on leur a volé. Drôles d’opposants qui n’ont rien du tout compris à la politique et qui s’y sont engagés faute d’occupations saines. Alors, n’écoutons pas en 2020 leurs disques rayés : la fraude électorale dont ils ont comme toujours la psychose et ont déjà commencé à préparer l’esprit de leurs ‘’vandales’’ dans ce sens.
Ben Yachid
(Stagiaire)
L’opposition au pouvoir Ouattara souffre de deux maladies chroniques : son immobilisme et sa prédilection pour la violence politique. Les opposants au régime du président Alassane Ouattara n’ont pas compris jusqu’aujourd’hui que pour remporter une élection, il faut aller à la rencontre des électeurs là où ils se trouvent. Seul le RHDP a très tôt compris cette nécessité impérieuse et investit le terrain quand s’impose le moment de leur parler, de maintenir le contact avec la base. Une élection se gagne dans tous les pays du monde en étant régulièrement sur le terrain pour tisser sa toile d’araignée et donc pour ratisser large. Mais que constatons-nous en Côte d’Ivoire avec ces opposants des salles et salons climatisés d’Abidjan ? Leur terrain de prédilection se résume aux colonnes des journaux qui les accompagnent dans leurs errements et divagations, juste parce que ces opposants sont conscients de leurs limites et tares congénitales. Alors pour montrer que cette opposition existe, elle donne de la voix seulement à travers des conférences et points-presse dans les grands hôtels d’Abidjan. Aux journalistes de relayer leurs discours haineux, racistes et diviseurs. Ils ont une haute idée d’eux-mêmes, sont imbus de leur personne. Ils refusent de ‘’mouiller le maillot’’, de se salir au contact de ces parias du bled ivoirien qu’on appelle électeurs. Ils sont donc tous cantonnés à Abidjan et demain, ils seront les premiers à crier à l’usage de la ‘’technologie électorale’’, c'est-à-dire à la fraude pour leur voler la victoire. Mais diantre, quant on n’a pas laborieusement et constamment investi le terrain, quel électeur peut-on séduire et convaincre de voter pour vous ? C’est le contact permanent, une campagne de proximité, un corps à corps avec le votant qui constituent la clé de la victoire demain. Le RHDP a la sagesse politique d’user de ce triptyque : contact permanent, campagne de proximité et corps à corps. A part quelques tournées sporadiques de l’ancien Premier ministre Pascal Affi N’Guessan, le gros lot des opposants au régime est rongé par deux ‘’cancers’’ : son immobilisme et ses pannes sèches d’idées qui les poussent dans maintes divagations et sorties de route bien risquées pour la cohésion sociale. Ils souffrent tous d’une autre congénitale : la complotite. Battre le pavé à Abidjan constitue l’une de leurs stratégies politiques. Cantonnés, limités, concentrés dans le District autonome d’Abidjan, ils attendent bonnement après les résultats pour certainement appeler leurs militants à descendre en masse dans la rue pour prendre le pouvoir qu’on leur a volé. Drôles d’opposants qui n’ont rien du tout compris à la politique et qui s’y sont engagés faute d’occupations saines. Alors, n’écoutons pas en 2020 leurs disques rayés : la fraude électorale dont ils ont comme toujours la psychose et ont déjà commencé à préparer l’esprit de leurs ‘’vandales’’ dans ce sens.
Ben Yachid
(Stagiaire)