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Politique Publié le vendredi 18 novembre 2011 | Le Patriote

Motus : Peine

Les frontistes sont à la peine. Voulant se donner bonne conscience, ils cherchent désespérément des tribalistes, pour justifier leur décennie de culture de l’ethnie et de la préférence nationale. Régulièrement, ils sélectionnent, pour les besoins de la cause, des nordistes, par-ci, par-là, et en concluent du caractère tribal du nouveau pouvoir. Ce procédé, par trop commode, n’a jamais prospéré, tant nos compatriotes sont assez avertis des pratiques des refondateurs. Après avoir mis un bémol à leurs grossièretés, nos amis socialistes sont revenus de plus belle, avec leurs refrains favoris. Avant-hier, ils accusaient le ministre Sidiki Konaté, candidat du Rassemblement Des Républicains à Man, de donner dans le tribalisme et de promettre « l’enfer aux autochtones ». Pour qui connaît Sidiki Konaté, il est clair que cela relève d’un grossier mensonge, visant piteusement à salir un homme connu pour son attachement aux valeurs républicaines. Depuis 2002 à nos jours, en passant par la promotion et la vulgarisation de l’Accord politique de Ouaga, l’homme n’a pas varié dans son combat pour la paix, la démocratie, la liberté, la fraternité et la solidarité. Au lendemain de la crise post-électorale, créée par Gbagbo Seplou et les siens, dans le but de confisquer les rênes du pouvoir, le ministre Sidiki Konaté a parcouru les grandes régions de la Côte d’Ivoire, pour appeler les Ivoiriens au pardon et à la réconciliation. Partout où il est passé, il a embouché la trompette de l’union et de la cohésion nationale. Assurément, une telle personnalité ne peut absolument pas être un activateur de la haine et du tribalisme. C’est d’ailleurs tout le sens de sa candidature à Man, pour donner forme à la nouvelle Côte d’Ivoire que le Président Alassane Ouattara appelle de tous ses vœux, pour tourner définitivement le dos à la parenthèse de sang, de préférence nationale entretenue par Laurent Gbagbo et le Front Populaire Ivoirien. Cela n’est pas vu d’un bon œil par nos amis dits socialistes qui ne sont heureux que dans la belligérance et la discorde. Ils ne connaissent du reste que cela. En témoigne, ces dix années perdues par notre pays sur la voie de la prospérité et du développement. Chers messieurs, quittez les sentiers battus ! La Côte d’Ivoire a pris son envol pour un avenir radieux
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