Bangolo, Les autorités municipales et préfectorales de Bangolo (Ouest, région du Guémon) ont décidé de mettre de l'ordre le secteur des motos-taxis du département, apparu pendant la dizaine d'années de crises qu'a connues le pays.
Ainsi, elles ont négocié la réduction des coûts de prestations d'une auto-école aux fins de permettre aux conducteurs de ces engins d'obtenir des permis de conduire.
"Déjà une première vague va bientôt terminer les cours théoriques avant de se perfectionner dans la conduite d'engins", a indiqué le 3ème adjoint au maire, Gui Banhi Georges.
Dans cette même veine, vendredi, au foyer polyvalent de Bangolo, la signature d'une convention de partenariat entre le collectif des propriétaires et conducteurs de motos-taxis et une compagnie d'assurance a eu lieu, à l'initiative de la mairie et de la préfecture.
"Je ne veux plus de l'anarchie dans ce secteur. C'est le désordre qui crée les accidents meurtriers sur nos routes. Toute moto qui ne sera pas assurée avant fin mai, sera mise en fourrière" a prévenu le préfet Gbané Mahama.
Les acteurs eux-mêmes du secteur des motos-taxis disent avoir compris la nécessité de s'organiser pour quitter l'informel. "Nous sommes environs 200 conducteurs et nous entendons créer un syndicat. Il reste quelques problèmes à régler avec la section locale du syndicat des transporteurs. Dès que les malentendus seront levés, le collectif que nous avons formé sera un syndicat", a annoncé Taha David, président du comité adhoc du collectif.
Depuis l'avènement des motos-taxis dans le département de Bangolo, une dizaine de personnes, des conducteurs et des passagers, ont perdu la vie dans des accidents de la circulation, a-t-on noté.
(AIP)
JN/kp
Ainsi, elles ont négocié la réduction des coûts de prestations d'une auto-école aux fins de permettre aux conducteurs de ces engins d'obtenir des permis de conduire.
"Déjà une première vague va bientôt terminer les cours théoriques avant de se perfectionner dans la conduite d'engins", a indiqué le 3ème adjoint au maire, Gui Banhi Georges.
Dans cette même veine, vendredi, au foyer polyvalent de Bangolo, la signature d'une convention de partenariat entre le collectif des propriétaires et conducteurs de motos-taxis et une compagnie d'assurance a eu lieu, à l'initiative de la mairie et de la préfecture.
"Je ne veux plus de l'anarchie dans ce secteur. C'est le désordre qui crée les accidents meurtriers sur nos routes. Toute moto qui ne sera pas assurée avant fin mai, sera mise en fourrière" a prévenu le préfet Gbané Mahama.
Les acteurs eux-mêmes du secteur des motos-taxis disent avoir compris la nécessité de s'organiser pour quitter l'informel. "Nous sommes environs 200 conducteurs et nous entendons créer un syndicat. Il reste quelques problèmes à régler avec la section locale du syndicat des transporteurs. Dès que les malentendus seront levés, le collectif que nous avons formé sera un syndicat", a annoncé Taha David, président du comité adhoc du collectif.
Depuis l'avènement des motos-taxis dans le département de Bangolo, une dizaine de personnes, des conducteurs et des passagers, ont perdu la vie dans des accidents de la circulation, a-t-on noté.
(AIP)
JN/kp