L’opération d’identification et d’enrôlement vient de prendre du plomb dans l’aile, dans la région du Sud- Comoé. Débutée le samedi 6 décembre, elle a brutalement marqué un arrêt, momentanément, dans les trois quarts des centres de collecte.
En effet, depuis le mercredi 7 janvier dernier, de nombreux centres ont fermé leurs portes, en attendant que les problèmes posés trouvent solution. «Nous sommes dans une situation de blocage. Il a été prévu que la Sagem ait un véhicule 4 X 4. N’ayant pas de moyens de déplacement, la Sagem ne peut récupérer les données et redonner des formulaires. Nous avons soixante (60) valises dans le département d’Aboisso. La tâche est difficile. La situation est bloquée dans tout le Sud-Comoé», a expliqué M. Charles Gohou, président de la commission électorale indépendante régionale à Aboisso. Selon lui, la reprise est possible dans une semaine. Chaque agent est géré par sa structure. Il se trouve que les problèmes diffèrent d’une structure à une autre. Pendant que Sagem se plaint du manque de véhicule, l’INS crie au manque de moyens techniques. La responsable, Mme Joséphine Eby, est confrontée au manque de carburant et de moyens de déplacement. Dans certains centres, elle est obligée d’utiliser des groupes électrogènes. Epuisée financièrement, elle ne réussit plus à faire fonctionner ses centres. 22 centres ont fermé pour faute de formulaires et onze (11) autres pour des raisons techniques. Le nombre va crescendo. On assiste de jour en jour à des fermetures depuis, le mercredi 7 janvier. A la date du 3 janvier, 31656 pétitionnaires avaient déjà été enrôlés dans le département d’Aboisso.
Concernant les cas de fraude qui ont émaillé l’opération à Aboisso, M. Charles, Gohou rassure que la CEI dispose de moyens techniques pour détecter les fraudeurs. A l’en croire, les documents non authentiques sont refusés par la CEI. Avant de souligner que «tout individu peut faire des réclamations après la publication officielle de la première liste».
Sam K.D.
En effet, depuis le mercredi 7 janvier dernier, de nombreux centres ont fermé leurs portes, en attendant que les problèmes posés trouvent solution. «Nous sommes dans une situation de blocage. Il a été prévu que la Sagem ait un véhicule 4 X 4. N’ayant pas de moyens de déplacement, la Sagem ne peut récupérer les données et redonner des formulaires. Nous avons soixante (60) valises dans le département d’Aboisso. La tâche est difficile. La situation est bloquée dans tout le Sud-Comoé», a expliqué M. Charles Gohou, président de la commission électorale indépendante régionale à Aboisso. Selon lui, la reprise est possible dans une semaine. Chaque agent est géré par sa structure. Il se trouve que les problèmes diffèrent d’une structure à une autre. Pendant que Sagem se plaint du manque de véhicule, l’INS crie au manque de moyens techniques. La responsable, Mme Joséphine Eby, est confrontée au manque de carburant et de moyens de déplacement. Dans certains centres, elle est obligée d’utiliser des groupes électrogènes. Epuisée financièrement, elle ne réussit plus à faire fonctionner ses centres. 22 centres ont fermé pour faute de formulaires et onze (11) autres pour des raisons techniques. Le nombre va crescendo. On assiste de jour en jour à des fermetures depuis, le mercredi 7 janvier. A la date du 3 janvier, 31656 pétitionnaires avaient déjà été enrôlés dans le département d’Aboisso.
Concernant les cas de fraude qui ont émaillé l’opération à Aboisso, M. Charles, Gohou rassure que la CEI dispose de moyens techniques pour détecter les fraudeurs. A l’en croire, les documents non authentiques sont refusés par la CEI. Avant de souligner que «tout individu peut faire des réclamations après la publication officielle de la première liste».
Sam K.D.
