La Can junior débute le 18 janvier pour finir le 3 février au Rwanda. La Côte d'Ivoire, avec Alain Gouamené, rêve du Mondial junior en Egypte.
•A huit jours de votre premier match contre l'Afrique du Sud, n'avez-vous pas d'appréhensions vu des conditions dans lesquelles vous partez ?
Des appréhensions, on en a toujours. Parce qu'on ne sait jamais ce qui vous attend sur le terrain. Mais cela ne veut pas dire qu'on craint tel ou tel. C'est le 19 janvier qu'on verra si on a bien fait de rester à Abidjan ou de partir à huit jours de notre premier match.
•Quel sera le contenu de la préparation ?
On a posé les bases de la préparation à Abidjan. Là-bas, on va davantage travailler la condition physique et nous acclimater surtout. Il y aura un match amical contre le premier du Championnat rwandais. Techniquement, on est déjà prêt. Si le mental et le physique suivent, on peut sortir heureux du premier match.
•Justement, comment comptez-vous aborder ce match contre l'Afrique du Sud?
Gagner ce premier match, c'est le meilleur scénario. Et nous ferons tout pour le gagner, parce qu'il est primordial pour nous.
•Votre équipe a été remaniée du fait des absences de Serges Déblé, Koné Ibrahim et de Bagayoko Mamadou. Cette situation aura sûrement des conséquences…
Quand il y a des absences, on ne peut pas s'en contenter. On est obligé de les remplacer. C'est ce qu'on a fait. Mais le plus important, c'est l'équipe. Si elle est bonne, n'importe qui peut y figurer et bien se comporter.
•Votre objectif majeur demeure le Mondial junior en Egypte. Mais pour y arriver il faudra terminer au moins deuxième dans votre poule où il y a le Nigeria, l'Afrique du Sud et l'Egypte…
C'est jouable. On a tendance à se laisser effrayer par le Nigéria, l'Egypte, l'Afrique du Sud…Mais la Côte d'Ivoire aussi est un grand pays de football. Eux aussi disent la même chose de nous. Pour moi, tout dépend de la préparation. Une fois bien préparé, il faut être prêt le jour J et gagner surtout le premier match, c'est très important. Mais on va se battre pour atteindre notre objectif.
•Pour votre première Can en tant qu'entraîneur national, quel message ?
Les Ivoiriens ne sont pas méchants. Ils sont comme tout le monde au football. Quand tu gagnes, tu es roi, quand tu perds, on te jette à la poubelle. Mais ils peuvent compter sur nous, ils ne seront pas déçus.
Entretien réalisé par Tibet Kipré
•A huit jours de votre premier match contre l'Afrique du Sud, n'avez-vous pas d'appréhensions vu des conditions dans lesquelles vous partez ?
Des appréhensions, on en a toujours. Parce qu'on ne sait jamais ce qui vous attend sur le terrain. Mais cela ne veut pas dire qu'on craint tel ou tel. C'est le 19 janvier qu'on verra si on a bien fait de rester à Abidjan ou de partir à huit jours de notre premier match.
•Quel sera le contenu de la préparation ?
On a posé les bases de la préparation à Abidjan. Là-bas, on va davantage travailler la condition physique et nous acclimater surtout. Il y aura un match amical contre le premier du Championnat rwandais. Techniquement, on est déjà prêt. Si le mental et le physique suivent, on peut sortir heureux du premier match.
•Justement, comment comptez-vous aborder ce match contre l'Afrique du Sud?
Gagner ce premier match, c'est le meilleur scénario. Et nous ferons tout pour le gagner, parce qu'il est primordial pour nous.
•Votre équipe a été remaniée du fait des absences de Serges Déblé, Koné Ibrahim et de Bagayoko Mamadou. Cette situation aura sûrement des conséquences…
Quand il y a des absences, on ne peut pas s'en contenter. On est obligé de les remplacer. C'est ce qu'on a fait. Mais le plus important, c'est l'équipe. Si elle est bonne, n'importe qui peut y figurer et bien se comporter.
•Votre objectif majeur demeure le Mondial junior en Egypte. Mais pour y arriver il faudra terminer au moins deuxième dans votre poule où il y a le Nigeria, l'Afrique du Sud et l'Egypte…
C'est jouable. On a tendance à se laisser effrayer par le Nigéria, l'Egypte, l'Afrique du Sud…Mais la Côte d'Ivoire aussi est un grand pays de football. Eux aussi disent la même chose de nous. Pour moi, tout dépend de la préparation. Une fois bien préparé, il faut être prêt le jour J et gagner surtout le premier match, c'est très important. Mais on va se battre pour atteindre notre objectif.
•Pour votre première Can en tant qu'entraîneur national, quel message ?
Les Ivoiriens ne sont pas méchants. Ils sont comme tout le monde au football. Quand tu gagnes, tu es roi, quand tu perds, on te jette à la poubelle. Mais ils peuvent compter sur nous, ils ne seront pas déçus.
Entretien réalisé par Tibet Kipré
