Les douanes ivoiriennes, sous l’égide de l’OMD (Organisation mondiale des douanes) organisent un atelier sur la mise en oeuvre du plan d’action régional en matière de renforcement des capacités et l’inauguration du BRRC (Bureau régional des renforcements des capacités), du 13 au 16 janvier, à l’Hôtel Novotel au Plateau.
Les Etats attendent des administrations douanières une mobilisation suffisante des ressources fiscales pour faire face à leurs engagements. C’est face donc à cette obligation de devoir que les différents directeurs généraux des douanes des pays de l’Afrique de l’Ouest et du Centre sont en atelier de réflexion, depuis hier, sur la mise en œuvre du plan d’actions régional de l’Afrique occidentale et centrale en vue de trouver des réponses pratiques pour l’amélioration des capacités des administrations douanières de leurs pays respectifs. «La mise en oeuvre de notre plan d’actions doit nécessairement être réalisée via une démarche participative, associant l’ensemble des administrations membres de la région, chacune en ce qu’elle peut ou sait faire le mieux, afin de créer un mouvement d’ensemble où chaque pays ou groupe de pays mène des actions pour le compte et l’intérêt de tous », s’est ainsi exprimé le Colonel Sangaré de la Côte d’Ivoire, à l’ouverture de cet atelier et commis à la direction du BRRC. Pour le Colonel Alphonse Mangly, directeur général des douanes ivoiriennes, la présence de ses pairs à cet atelier est synonyme d’une part, de l’engagement des autorités à soutenir les chantiers entrepris par l’administration des douanes et qui sont chacun, des défis pour les douanes modernes en Afrique et d’autre part, la détermination de l’OMD et des directeurs généraux de la région de l’Afrique occidentale et centrale à œuvrer pour l’harmonisation des normes, la simplification des procédures douanières, la sécurité des recettes et la facilitation du commerce licite. «J’aimerais donc rêver avec vous que l’unicité de l’Afrique commence par la synergie des administrations douanières, par l’élaboration d’un code des douanes uniforme et par le déploiement d’un système informatique unique», a indiqué le directeur général des douanes ivoiriennes.
J.P.B
Les Etats attendent des administrations douanières une mobilisation suffisante des ressources fiscales pour faire face à leurs engagements. C’est face donc à cette obligation de devoir que les différents directeurs généraux des douanes des pays de l’Afrique de l’Ouest et du Centre sont en atelier de réflexion, depuis hier, sur la mise en œuvre du plan d’actions régional de l’Afrique occidentale et centrale en vue de trouver des réponses pratiques pour l’amélioration des capacités des administrations douanières de leurs pays respectifs. «La mise en oeuvre de notre plan d’actions doit nécessairement être réalisée via une démarche participative, associant l’ensemble des administrations membres de la région, chacune en ce qu’elle peut ou sait faire le mieux, afin de créer un mouvement d’ensemble où chaque pays ou groupe de pays mène des actions pour le compte et l’intérêt de tous », s’est ainsi exprimé le Colonel Sangaré de la Côte d’Ivoire, à l’ouverture de cet atelier et commis à la direction du BRRC. Pour le Colonel Alphonse Mangly, directeur général des douanes ivoiriennes, la présence de ses pairs à cet atelier est synonyme d’une part, de l’engagement des autorités à soutenir les chantiers entrepris par l’administration des douanes et qui sont chacun, des défis pour les douanes modernes en Afrique et d’autre part, la détermination de l’OMD et des directeurs généraux de la région de l’Afrique occidentale et centrale à œuvrer pour l’harmonisation des normes, la simplification des procédures douanières, la sécurité des recettes et la facilitation du commerce licite. «J’aimerais donc rêver avec vous que l’unicité de l’Afrique commence par la synergie des administrations douanières, par l’élaboration d’un code des douanes uniforme et par le déploiement d’un système informatique unique», a indiqué le directeur général des douanes ivoiriennes.
J.P.B
