M. Souleymane Abouba, directeur de la communication de la Confédération africaine de football, est en visite de travail en Côte d’Ivoire depuis le 11 janvier 2009. Il a mis à profit son séjour pour se rendre compte de l’état d’avancement des travaux du stade Félix Houphouet Boigny et du stade municipal de Bouaké, deux sites devant accueillir les rencontres de la première édition du Championnat d’Afrique des nations (CHAN) du 22 février au 8 mars 2009. Hier, l’émissaire de la CAF était au siège du Comité d’organisation du Championnat d’Afrique des nations (COCHAN), à Biétry, pour échanger avec la presse locale. Il s’est d’emblée réjoui de l’initiative prise par le comité local d’organisation de faire visiter les installations avant le grand show qui va rassembler la jeunesse sportive africaine. “Je pense que c’est une très bonne démarche d’avoir identifié soi-même les challenges et d’avoir permis les visites. En procédant ainsi, le président Anouma veut s’assurer que les choses se passent très bien”, a confié Souleymane Abouba. Et de continuer : “A la CAF, nous considérons qu’après la CAN, le CHAN vient en deuxième position. Cette compétition est très importante pour la Confédération africaine de football car c’est le fruit direct de ceux qui travaillent tous les jours sur le football… Nous sommes également très satisfaits de voir que la Côte d’Ivoire, la FIF, le comité d’organisation ont décidé de prendre cette compétition comme une Coupe d’Afrique des nations seniors”.
M. Abouba a indiqué qu’un énorme travail est en train d’être abattu afin que la zone mixte et les salles de conférence de presse répondent aux attentes des journalistes pour discuter avec les joueurs et les entraîneurs. Sur la question cruciale des accréditations qui fait souvent jaser, il s’est voulu très catégorique : “L’accréditation est une pièce d’identification d’un haut niveau de sécurité. Elle signifie également que ce n’est pas tout le monde qui est invité. Il est donc important que la presse comprenne le processus… Pour la presse locale, il va se poser un problème de quota. Un nombre exact sera déterminé car ce n’est pas tout le monde qui va avoir accès au (x) stade (s). Si on se retrouve dans une situation difficile, l’accréditation ne donnera pas accès au stade. Il y aura donc des passes spéciaux pour que le nombre de places soit conforme au nombre de journalistes devant couvrir l’évènement”.
S’agissant des radios de proximité locales, elles devront s’acquitter d’un droit de retransmission. Ne seront cependant admises que celles qui font effectivement du sport.
Des chefs de bureau de presse locaux et de la Confédération africaine de football se tiendront à la disposition des journalistes.
Le directeur de la communication de la CAF a fait un plaidoyer auprès de la presse ivoirienne. Elle doit montrer à l’occasion de la première édition du Championnat d’Afrique des nations que le football local est de qualité. Elle ferait ainsi sienne la mission de la Confédération africaine de football “qui a l’obligation de prouver au niveau mondial que le football africain est arrivé à un certain niveau, qu’il peut se faire à l’échelon international sans l’assistance des joueurs qui évoluent hors du continent. Il s’agit d’une responsabilité continentale pour prouver à la communauté internationale que sans ces joueurs, on peut avoir une excellente compétition”. La réussite de la première édition du CHAN, à en croire Souleymane Abouba, obligera la communauté internationale à poser un autre regard sur l’Afrique. Une Afrique qui entreprend et qui gagne.
Lors de cette rencontre, l’annonce du recrutement de nombreux volontaires devant intervenir dans divers domaines a été faite. Ledit recrutement fera l’objet d’un appel à candidature. Les postulants devront être âgés de 19 à 28 ans et devront parler l’anglais et l’arabe. Ils devront être disponibles, avoir des qualités de relations publiques, un casier judiciaire vierge, être de préférence membres d’une organisation associative ou caricative. Les candidats retenus recevront une formation portant sur le thème : “responsabilité et bénévolat”.
Roger Okou Vabé rogerokou@yahoo.fr
M. Abouba a indiqué qu’un énorme travail est en train d’être abattu afin que la zone mixte et les salles de conférence de presse répondent aux attentes des journalistes pour discuter avec les joueurs et les entraîneurs. Sur la question cruciale des accréditations qui fait souvent jaser, il s’est voulu très catégorique : “L’accréditation est une pièce d’identification d’un haut niveau de sécurité. Elle signifie également que ce n’est pas tout le monde qui est invité. Il est donc important que la presse comprenne le processus… Pour la presse locale, il va se poser un problème de quota. Un nombre exact sera déterminé car ce n’est pas tout le monde qui va avoir accès au (x) stade (s). Si on se retrouve dans une situation difficile, l’accréditation ne donnera pas accès au stade. Il y aura donc des passes spéciaux pour que le nombre de places soit conforme au nombre de journalistes devant couvrir l’évènement”.
S’agissant des radios de proximité locales, elles devront s’acquitter d’un droit de retransmission. Ne seront cependant admises que celles qui font effectivement du sport.
Des chefs de bureau de presse locaux et de la Confédération africaine de football se tiendront à la disposition des journalistes.
Le directeur de la communication de la CAF a fait un plaidoyer auprès de la presse ivoirienne. Elle doit montrer à l’occasion de la première édition du Championnat d’Afrique des nations que le football local est de qualité. Elle ferait ainsi sienne la mission de la Confédération africaine de football “qui a l’obligation de prouver au niveau mondial que le football africain est arrivé à un certain niveau, qu’il peut se faire à l’échelon international sans l’assistance des joueurs qui évoluent hors du continent. Il s’agit d’une responsabilité continentale pour prouver à la communauté internationale que sans ces joueurs, on peut avoir une excellente compétition”. La réussite de la première édition du CHAN, à en croire Souleymane Abouba, obligera la communauté internationale à poser un autre regard sur l’Afrique. Une Afrique qui entreprend et qui gagne.
Lors de cette rencontre, l’annonce du recrutement de nombreux volontaires devant intervenir dans divers domaines a été faite. Ledit recrutement fera l’objet d’un appel à candidature. Les postulants devront être âgés de 19 à 28 ans et devront parler l’anglais et l’arabe. Ils devront être disponibles, avoir des qualités de relations publiques, un casier judiciaire vierge, être de préférence membres d’une organisation associative ou caricative. Les candidats retenus recevront une formation portant sur le thème : “responsabilité et bénévolat”.
Roger Okou Vabé rogerokou@yahoo.fr