•Quels sont les acquis de ce séminaire ?
Le séminaire a répondu à mes attentes en tant que secrétaire national chargé des élections. Nous savions qu’il y avait des fraudes ça et là. Mais, le séminaire a permis de lister cette fraude. D’en faire la typologie. Aujourd’hui, nous pouvons sortir un livret sur la fraude et lister les cas dans toute la Côte d’Ivoire. Nous savons désormais toutes les zones où il y a eu des fraudes. On peut dire avec preuve à l’appui qu’ici ou là il y a eu fraude. Avant on disait, on parlait comme ça, mais aujourd’hui, grâce à ce séminaire, nous tenons un document qui nous permet d’être plus précis. Par exemple à Sinfra, 8 militants du Rdr qui sont dans l’état civil ont été jetés en prison. Ils ont tous fraudé sur la nationalité. Le document que nous avons permet de dire à tous qu’il y a fraude et qu’il faut en tenir compte.
•Qu’allez-vous décider après avoir réuni vos preuves.
Ici c’est le séminaire. Attendons tous que la direction se réunisse pour décider. Je ne peux pas dire ce qui sera fait après la vue de ces preuves.
•Quel est l’ampleur de la fraude dont vous parlez ?
On ne peut pas vous révéler l’ampleur de la fraude dont on détient les preuves, mais à Bouaké, notre responsable local nous a dit que la fraude concerne entre 60 et 70% des personnes enrôlées.
•De quel type de fraude s’agit-il ?
Il y a deux types de fraude. La fraude sur l’identité et la fraude sur la pièce exigée. C'est-à-dire que les gens vont dans un centre, dans un laboratoire où les pièces sont produites, mais ce n’est pas un officier de l’état civil assermenté qui les signe. Il y aussi les cas où c’est un vrai officier de l’état civil qui signe, mais qui les donne à des étrangers. C’est un vrai document, mais ce sont des étrangers qui viennent se faire inscrire avec.
Propos recueillis par Djama Stanislas
Le séminaire a répondu à mes attentes en tant que secrétaire national chargé des élections. Nous savions qu’il y avait des fraudes ça et là. Mais, le séminaire a permis de lister cette fraude. D’en faire la typologie. Aujourd’hui, nous pouvons sortir un livret sur la fraude et lister les cas dans toute la Côte d’Ivoire. Nous savons désormais toutes les zones où il y a eu des fraudes. On peut dire avec preuve à l’appui qu’ici ou là il y a eu fraude. Avant on disait, on parlait comme ça, mais aujourd’hui, grâce à ce séminaire, nous tenons un document qui nous permet d’être plus précis. Par exemple à Sinfra, 8 militants du Rdr qui sont dans l’état civil ont été jetés en prison. Ils ont tous fraudé sur la nationalité. Le document que nous avons permet de dire à tous qu’il y a fraude et qu’il faut en tenir compte.
•Qu’allez-vous décider après avoir réuni vos preuves.
Ici c’est le séminaire. Attendons tous que la direction se réunisse pour décider. Je ne peux pas dire ce qui sera fait après la vue de ces preuves.
•Quel est l’ampleur de la fraude dont vous parlez ?
On ne peut pas vous révéler l’ampleur de la fraude dont on détient les preuves, mais à Bouaké, notre responsable local nous a dit que la fraude concerne entre 60 et 70% des personnes enrôlées.
•De quel type de fraude s’agit-il ?
Il y a deux types de fraude. La fraude sur l’identité et la fraude sur la pièce exigée. C'est-à-dire que les gens vont dans un centre, dans un laboratoire où les pièces sont produites, mais ce n’est pas un officier de l’état civil assermenté qui les signe. Il y aussi les cas où c’est un vrai officier de l’état civil qui signe, mais qui les donne à des étrangers. C’est un vrai document, mais ce sont des étrangers qui viennent se faire inscrire avec.
Propos recueillis par Djama Stanislas
