Les établissements du privé laïc risquent d'être fermés dès la semaine prochaine. Après avoir réclamé le départ du Sapep la semaine dernière, les enseignants ont annoncé mercredi qu'ils entameront une grève illimitée dès lundi jusqu'à la satisfaction de leurs revendications.
L'information a été donnée par le Syndicat national des enseignants du privé laïc de Côte d'Ivoire (Syneplaci) à travers son président, Zan Bi Golle Hyppolite. A cela, les enseignants prévoient une grève de la faim et plusieurs sit-in devant certaines institutions. Les points visés sont entre autres la Direction générale du Trésor et de la Comptabilité publique, le ministère de l'Economie et des Finances, l'Onuci, etc. Le Syneplaci réclame le paiement inconditionnel de tous les passifs occasionnés par l'Etat. Ces frais, affirment-ils, « constituent l'ossature des salaires des enseignants du privé laïc ». Le syndicat exige également le paiement des primes de désintéressement aux déplacés de guerre du privé laïc et confessionnel.
Raphaël Tanoh
L'information a été donnée par le Syndicat national des enseignants du privé laïc de Côte d'Ivoire (Syneplaci) à travers son président, Zan Bi Golle Hyppolite. A cela, les enseignants prévoient une grève de la faim et plusieurs sit-in devant certaines institutions. Les points visés sont entre autres la Direction générale du Trésor et de la Comptabilité publique, le ministère de l'Economie et des Finances, l'Onuci, etc. Le Syneplaci réclame le paiement inconditionnel de tous les passifs occasionnés par l'Etat. Ces frais, affirment-ils, « constituent l'ossature des salaires des enseignants du privé laïc ». Le syndicat exige également le paiement des primes de désintéressement aux déplacés de guerre du privé laïc et confessionnel.
Raphaël Tanoh