BOUAK - Les opérations d'identification et de recensement électoral en vue de la présidentielle en Côte d'Ivoire ont repris dimanche à Bouaké (centre), fief de l'ex-rébellion des Force nouvelles (FN), a-t-on appris auprès des agents qui s'étaient mis en grève mercredi.
Les agents de l'Institut national de la statistique (INS, public), l'une
des structures participant au processus, ont "effectivement repris" le travail
dimanche, a déclaré à un correspondant de l'AFP Inza Bakayoko, porte-parole
des agents de l'INS de Bouaké.
"Il ressort" d'une réunion tenue samedi entre ces agents et leurs
responsables que "des actions seront entreprises dès la semaine prochaine pour
que nos salaires soient payés", revendication à l'origine du mouvement de
grève, a-t-il ajouté.
Plus de 150.000 personnes ont été recensées à ce jour à Bouaké, selon la
Commission électorale indépendante (CEI).
Le processus d'identification a été fréquemment freiné ou interrompu à
travers le pays depuis son lancement en septembre 2008, en raison de problèmes
financiers ou logistiques.
La Côte d'Ivoire est divisée en un nord rebelle et un sud gouvernemental
depuis un coup d'Etat manqué en septembre 2002.
Les deux parties ont signé en mars 2007 à Ouagadougou un accord, complété
en décembre 2008, qui prévoit des élections libres et transparentes, dont la
date n'est toujours pas connue.
Les agents de l'Institut national de la statistique (INS, public), l'une
des structures participant au processus, ont "effectivement repris" le travail
dimanche, a déclaré à un correspondant de l'AFP Inza Bakayoko, porte-parole
des agents de l'INS de Bouaké.
"Il ressort" d'une réunion tenue samedi entre ces agents et leurs
responsables que "des actions seront entreprises dès la semaine prochaine pour
que nos salaires soient payés", revendication à l'origine du mouvement de
grève, a-t-il ajouté.
Plus de 150.000 personnes ont été recensées à ce jour à Bouaké, selon la
Commission électorale indépendante (CEI).
Le processus d'identification a été fréquemment freiné ou interrompu à
travers le pays depuis son lancement en septembre 2008, en raison de problèmes
financiers ou logistiques.
La Côte d'Ivoire est divisée en un nord rebelle et un sud gouvernemental
depuis un coup d'Etat manqué en septembre 2002.
Les deux parties ont signé en mars 2007 à Ouagadougou un accord, complété
en décembre 2008, qui prévoit des élections libres et transparentes, dont la
date n'est toujours pas connue.