Les élèves venus très tôt le mardi 20 janvier pour assister aux cours ont dû rentrer chez eux aux environs de 9h. Les enfants regagneront donc les salles de classe, sauf changement de dernière minute, le lundi 2 février prochain. “Nous avons opté pour la cohésion. Nous ne parlons pas en terme de tendance, pourvu que le mot d’ordre défende les intérêts des enseignants”, a expliqué M. Kouko Séla, secrétaire général de la section du Synesci Lycée moderne.
La Coordination des enseignants du secondaire (CES-CI), qui avait demandé à ses militants de ne pas observer le mot d’ordre de grève, a revu sa position. Elle a fini par se ranger derrière les autres. Il est bon de savoir que deux mots d’ordre de grève sont lancés en même temps par les deux SYNESCI et un collectif de syndicats du secondaire, qui regroupe de petits syndicats insignifiants et ceux des éducateurs.
Selon des sources jointes par téléphone à Adiaké, Ayamé, Bonoua, Grand-Bassam, Mafféré et Tiapoum, les salles de classe sont fermées. Des élèves se réclamant de la FESCI sont entrés dans la danse pour empêcher les professeurs du public de dispenser des cours dans les établissements privés. A Aboisso, des professeurs continuent de retenir les notes des élèves. Ils menacent de brûler les copies à la fin du mois devant le ministère de l’Education nationale à Abidjan, si rien n’est fait pour eux d’ici là. Cette situation de grève nuit considérablement aux élèves et aux enseignants stagiaires. Seul le collège qui a ouvert a fonctionné normalement.
Sam K.D.
La Coordination des enseignants du secondaire (CES-CI), qui avait demandé à ses militants de ne pas observer le mot d’ordre de grève, a revu sa position. Elle a fini par se ranger derrière les autres. Il est bon de savoir que deux mots d’ordre de grève sont lancés en même temps par les deux SYNESCI et un collectif de syndicats du secondaire, qui regroupe de petits syndicats insignifiants et ceux des éducateurs.
Selon des sources jointes par téléphone à Adiaké, Ayamé, Bonoua, Grand-Bassam, Mafféré et Tiapoum, les salles de classe sont fermées. Des élèves se réclamant de la FESCI sont entrés dans la danse pour empêcher les professeurs du public de dispenser des cours dans les établissements privés. A Aboisso, des professeurs continuent de retenir les notes des élèves. Ils menacent de brûler les copies à la fin du mois devant le ministère de l’Education nationale à Abidjan, si rien n’est fait pour eux d’ici là. Cette situation de grève nuit considérablement aux élèves et aux enseignants stagiaires. Seul le collège qui a ouvert a fonctionné normalement.
Sam K.D.