Les autorités sanitaires nigérianes à Lagos ont alerté mercredi le public sur la présence sur le marché d’un sirop au paracétamol qui pourrait être mortel, deux mois après le retrait d’un produit dentaire responsable de la mort de douzaines d’enfants dans le pays. Le commissaire chargé de la santé à Lagos, Jide Idris, a indiqué dans un communiqué que la première analyse réalisée en laboratoire sur ce produit, a montré qu’il pouvait endommager les reins s’il était administré à des enfants.
En novembre dernier, des douzaines d’enfants sont morts après avoir absorbé un produit dentaire appelé “My Pikin” (“mon enfant” en argot local) contenant une substance dangereuse. Le médicament a depuis été retiré de la circulation. Selon M. Idris, le gouvernement collabore avec l’Agence nationale pour l’alimentation, l’administration et le contrôle des produits pharmaceutiques du Nigeria (NAFDAC) afin de mener d’autres tests sur le sirop incriminé.
Le haut fonctionnaire a recommandé aux parents d’arrêter l’administration aux enfants de toute substance contenant du paracétamol, en attendant le résultat de l’investigation.
M. Idris a également demandé aux parents, aux hôpitaux et institutions sanitaires de signaler aux autorités ad-hoc tout symptôme de problèmes rénaux chez les enfants afin que des mesures rapides soient prises.
AFP
En novembre dernier, des douzaines d’enfants sont morts après avoir absorbé un produit dentaire appelé “My Pikin” (“mon enfant” en argot local) contenant une substance dangereuse. Le médicament a depuis été retiré de la circulation. Selon M. Idris, le gouvernement collabore avec l’Agence nationale pour l’alimentation, l’administration et le contrôle des produits pharmaceutiques du Nigeria (NAFDAC) afin de mener d’autres tests sur le sirop incriminé.
Le haut fonctionnaire a recommandé aux parents d’arrêter l’administration aux enfants de toute substance contenant du paracétamol, en attendant le résultat de l’investigation.
M. Idris a également demandé aux parents, aux hôpitaux et institutions sanitaires de signaler aux autorités ad-hoc tout symptôme de problèmes rénaux chez les enfants afin que des mesures rapides soient prises.
AFP
