Les enfants musulmans venus des dix communes d'Abidjan ont eu droit à une ambiance de belle facture au palais des cultures à Treichville. La salle n'était pas pleine mais ceux qui sont venus se sont bien amusés avec Tonton Bouba.
« Nous espérons que nos parents se feront fort de respecter leurs engagements vis-à-vis de leurs enfants car notre Prophète (saw) a dit : « Vous êtes tous des bergers et vous serez interrogés sur la gestion de votre bergerie. » Votre responsabilité se trouve donc définie. C'est de vous occuper de nous, de nous protéger, de nous éduquer, de nous soigner conformément aux principes islamiques. Rappelez-vous de ces paroles du Prophète « Tout enfant naît dans la Fitrat, seuls ses parents et son environnement le changent et le transforment ». Ceci nous donne à réfléchir. Ainsi a plaidé le jeune Sana Moussa porte-parole des enfants à cette journée et pensionnaire du Centre Espoir d'Adjoufou. Ces propos s'inscrivaient dans le cadre du thème de la 11e édition à savoir : « L'enfant musulman et le VIH/SIDA ». C'est l'innovation que les organisateurs de cette cérémonie, l'Amical des Anciens de l'AEEMCI appelé les 3A a apporté à cette journée qu'elle organise chaque année à l'occasion du nouvel an. S'appuyant sur l'importance du thème, le porte-parole des enfants qui faisait partie des 20 enfants sidéens du Centre Espoir d'Adjoufou qui ont pris part à cette fête, a invité les parents à mettre un terme aux agissements qui les exposent à cette pandémie qui détruit leurs vies et leurs espoirs. Il a été rejoint par Mme Moussa N'djim, chargée de communication qui a demandé aux imams de s'impliquer aussi dans la lutte contre cette pandémie et que chaque musulman réfléchisse sur la contribution qu'il peut apporter dans ce sens. Elle a également exhorté les musulmans à prier pour les enfants palestiniens tués par les raids israéliens.
En outre, Tonton Bouba, l'animateur inamovible de cette manifestation a déploré le fait que la salle ne soit pleine. Après avoir fait l'historique de cet évènement qui était à sa 11e édition, une sorte de bilan en quelque sorte, le « chouchou » des enfants a fait remarqué que la JEM connaît de réelles difficultés ces deux dernières années. Parce que les deux dernières éditions n'ont pas connu l'affluence habituelle. Il a lancé un véritable cri de cœur à la communauté musulmane pour soutenir les organisateurs qui souffrent d'un manque criard de moyens financiers. Le Cheick El Aïma Boikary Fofana venu soutenir et encourager les organisateurs ainsi que les enfants, a dit que le COSIM soutien cette manifestation parce que le Prophète (saw) aimait beaucoup les enfants et que l'appui du COSIM dans les prochaines éditions est envisageable.
En ce qui concerne la fête proprement dite, l'animateur adulé des jeunes a tenu toutes les promesses. Dès son entrée, il a mis le « feu » au palais à la grande joie de l'avenir de la communauté musulmane. Les quelques rares parents venus accompagner leurs enfants se laissaient emporter par le spectacle captivant des enfants à travers les jeux, les concours et les questions réponses. Comme à l'accoutumé, les enfants ont reçu de nombreux présents. Le khalife Général des Tidjanis, Moustapha Sonta a mis fin à la cérémonie par une bénédiction.
Haroun B
« Nous espérons que nos parents se feront fort de respecter leurs engagements vis-à-vis de leurs enfants car notre Prophète (saw) a dit : « Vous êtes tous des bergers et vous serez interrogés sur la gestion de votre bergerie. » Votre responsabilité se trouve donc définie. C'est de vous occuper de nous, de nous protéger, de nous éduquer, de nous soigner conformément aux principes islamiques. Rappelez-vous de ces paroles du Prophète « Tout enfant naît dans la Fitrat, seuls ses parents et son environnement le changent et le transforment ». Ceci nous donne à réfléchir. Ainsi a plaidé le jeune Sana Moussa porte-parole des enfants à cette journée et pensionnaire du Centre Espoir d'Adjoufou. Ces propos s'inscrivaient dans le cadre du thème de la 11e édition à savoir : « L'enfant musulman et le VIH/SIDA ». C'est l'innovation que les organisateurs de cette cérémonie, l'Amical des Anciens de l'AEEMCI appelé les 3A a apporté à cette journée qu'elle organise chaque année à l'occasion du nouvel an. S'appuyant sur l'importance du thème, le porte-parole des enfants qui faisait partie des 20 enfants sidéens du Centre Espoir d'Adjoufou qui ont pris part à cette fête, a invité les parents à mettre un terme aux agissements qui les exposent à cette pandémie qui détruit leurs vies et leurs espoirs. Il a été rejoint par Mme Moussa N'djim, chargée de communication qui a demandé aux imams de s'impliquer aussi dans la lutte contre cette pandémie et que chaque musulman réfléchisse sur la contribution qu'il peut apporter dans ce sens. Elle a également exhorté les musulmans à prier pour les enfants palestiniens tués par les raids israéliens.
En outre, Tonton Bouba, l'animateur inamovible de cette manifestation a déploré le fait que la salle ne soit pleine. Après avoir fait l'historique de cet évènement qui était à sa 11e édition, une sorte de bilan en quelque sorte, le « chouchou » des enfants a fait remarqué que la JEM connaît de réelles difficultés ces deux dernières années. Parce que les deux dernières éditions n'ont pas connu l'affluence habituelle. Il a lancé un véritable cri de cœur à la communauté musulmane pour soutenir les organisateurs qui souffrent d'un manque criard de moyens financiers. Le Cheick El Aïma Boikary Fofana venu soutenir et encourager les organisateurs ainsi que les enfants, a dit que le COSIM soutien cette manifestation parce que le Prophète (saw) aimait beaucoup les enfants et que l'appui du COSIM dans les prochaines éditions est envisageable.
En ce qui concerne la fête proprement dite, l'animateur adulé des jeunes a tenu toutes les promesses. Dès son entrée, il a mis le « feu » au palais à la grande joie de l'avenir de la communauté musulmane. Les quelques rares parents venus accompagner leurs enfants se laissaient emporter par le spectacle captivant des enfants à travers les jeux, les concours et les questions réponses. Comme à l'accoutumé, les enfants ont reçu de nombreux présents. Le khalife Général des Tidjanis, Moustapha Sonta a mis fin à la cérémonie par une bénédiction.
Haroun B
