Le président de la République, a dit, hier, au cours des échanges qu`il a eus avec les confrères de la RTI, qu`il n`y a que la justice qui situera tout le monde sur l`enquête sur la filière café-cacao qui est toujours en ce moment en cours. Une confirmation de la révélation que nous avaient faite - dans la matinée d`hier des sources judiciaires.
Après la vérité du président Laurent Gbagbo sur l`opération ‘’mains propres’’ dans la filière café-cacao, le premier jour de présentation de vœux au palais présidentiel, l`on s`attendait à un procès imminent des anciens dirigeants des structures de ladite filière. Voilà que le président de la République a tenu à préciser, hier, qu`il n`y a que la justice qui situera tout le monde. Y compris lui-même. Et qu`il n`avait pas de commentaire à faire avant les résultats de l`enquête en cours. Mais, avant, le président de la République avait déjà réitéré sa volonté d`aller jusqu`au bout dans ce dossier. Et qu`il n`avait envoyé personne pour demander la libération de qui que ce soit. Le président Laurent Gbagbo a dû déstabiliser le réseau des adeptes des rumeurs, de la provocation et de l`intoxication, par ces propos. En tournant hier nos regards vers le 4ème cabinet du doyen des juges d`instruction au palais de justice au Plateau, et vers des magistrats qui suivent de près l`enquête sur la filière café-cacao, il nous a été révélé que le dossier n`est pas encore bouclé. L`enquête sur la filière café-cacao, nous a-t-on révélé, continue. La preuve, soutient une source, les auditions sont encore en cours. Il y a quelques jours seulement, a-t-on appris au palais de justice, que Bernard Kouassi Kouamé, ancien président du conseil d`administration de la SIFCACOOP, a été entendu par le doyen des juges d`instruction, pendant plus de quatre heures de temps. Précisément le lundi 12 janvier 2009. L`ex-proche collaborateur de Henri Amouzou a pu regagner sa maison à cause de sa probité morale. Aucun administratif n`a engagé sa signature. L`audition de Bernard Kouassi Kouamé a secoué quelque peu les anciens collaborateurs des dirigeants de la filière café-cacao, qui avaient pensé comme l`opinion, que tout était bouclé au palais de justice. L`enquête sur la filière café-cacao suit donc son cours.
H.D
Après la vérité du président Laurent Gbagbo sur l`opération ‘’mains propres’’ dans la filière café-cacao, le premier jour de présentation de vœux au palais présidentiel, l`on s`attendait à un procès imminent des anciens dirigeants des structures de ladite filière. Voilà que le président de la République a tenu à préciser, hier, qu`il n`y a que la justice qui situera tout le monde. Y compris lui-même. Et qu`il n`avait pas de commentaire à faire avant les résultats de l`enquête en cours. Mais, avant, le président de la République avait déjà réitéré sa volonté d`aller jusqu`au bout dans ce dossier. Et qu`il n`avait envoyé personne pour demander la libération de qui que ce soit. Le président Laurent Gbagbo a dû déstabiliser le réseau des adeptes des rumeurs, de la provocation et de l`intoxication, par ces propos. En tournant hier nos regards vers le 4ème cabinet du doyen des juges d`instruction au palais de justice au Plateau, et vers des magistrats qui suivent de près l`enquête sur la filière café-cacao, il nous a été révélé que le dossier n`est pas encore bouclé. L`enquête sur la filière café-cacao, nous a-t-on révélé, continue. La preuve, soutient une source, les auditions sont encore en cours. Il y a quelques jours seulement, a-t-on appris au palais de justice, que Bernard Kouassi Kouamé, ancien président du conseil d`administration de la SIFCACOOP, a été entendu par le doyen des juges d`instruction, pendant plus de quatre heures de temps. Précisément le lundi 12 janvier 2009. L`ex-proche collaborateur de Henri Amouzou a pu regagner sa maison à cause de sa probité morale. Aucun administratif n`a engagé sa signature. L`audition de Bernard Kouassi Kouamé a secoué quelque peu les anciens collaborateurs des dirigeants de la filière café-cacao, qui avaient pensé comme l`opinion, que tout était bouclé au palais de justice. L`enquête sur la filière café-cacao suit donc son cours.
H.D