Un colloque de deux jours sur la politique de surveillance des machines tournantes dans les raffineries africaines se tient à Abidjan. Les réflexions qui ont débuté le mardi 27 janvier 2009 devront prendre fin cet après-midi, avec la visite de la SIR (Société ivoirienne de raffinage).
‘’Echanger des expériences en matière de maintenance dans le secteur de la raffinerie, tisser des liens…’’. Tels sont entre autres les objectifs du colloque sur la politique de surveillance des machines tournantes en raffinerie et dépôt, présentés par Joël Dervain, président de l’ARA et par ailleurs Directeur général de la SIR. Le présent colloque auquel prennent part tous les raffineurs africains ainsi que ceux des pays d’Europe intervenant dans le domaine de la sous-traitance, constitue un cadre idéal de prévention des risques éventuels de défaillance, à travers des échanges. Ainsi, au cours du colloque, les participants auront à se pencher sur 3 thèmes. Il s’agit de : l’Organisation des services mécaniques, de la Politique de surveillance des machines tournantes et du Retour d’Expérience. A l’ouverture des travaux, hier, Eric Fenet, spécialiste de la Maintenance, a présenté les enjeux dudit colloque, à savoir maîtriser la technique et la technologie. Qui sont des éléments essentiels pour celui qui veut participer à l’effort de la production. Toutefois, pour une meilleure participation à la production, il a souhaité que les maintenanciers aient plus d’autonomie et de responsabilité. Il convient de rappeler que la maintenance coûte près de 15 milliards de FCFA par an à la SIR. Mise en place à la demande des raffineurs africains, l’ARA s’est donné pour action de constituer un creuset de synergie, de solidarité et de développement entre ses membres, à travers des débats et des échanges d’idées et d’expériences dans tous les domaines du raffinage. L’ARA réfléchit également sur les problèmes économiques, écologiques et sociaux qui sont considérés par ses membres comme ayant un impact sur le raffinage du pétrole en Afrique, ou sur l'importation de produits pétroliers vers l'Afrique. Il s’agit aussi d’améliorer les communications et la coopération entre ses membres et le marché international du pétrole. Pour atteindre cet objectif, l'ARA coopère avec les grands groupes industriels, les gouvernements, les organismes de régulation, les agences internationales, les institutions académiques et les organismes non gouvernementaux.
H.K
‘’Echanger des expériences en matière de maintenance dans le secteur de la raffinerie, tisser des liens…’’. Tels sont entre autres les objectifs du colloque sur la politique de surveillance des machines tournantes en raffinerie et dépôt, présentés par Joël Dervain, président de l’ARA et par ailleurs Directeur général de la SIR. Le présent colloque auquel prennent part tous les raffineurs africains ainsi que ceux des pays d’Europe intervenant dans le domaine de la sous-traitance, constitue un cadre idéal de prévention des risques éventuels de défaillance, à travers des échanges. Ainsi, au cours du colloque, les participants auront à se pencher sur 3 thèmes. Il s’agit de : l’Organisation des services mécaniques, de la Politique de surveillance des machines tournantes et du Retour d’Expérience. A l’ouverture des travaux, hier, Eric Fenet, spécialiste de la Maintenance, a présenté les enjeux dudit colloque, à savoir maîtriser la technique et la technologie. Qui sont des éléments essentiels pour celui qui veut participer à l’effort de la production. Toutefois, pour une meilleure participation à la production, il a souhaité que les maintenanciers aient plus d’autonomie et de responsabilité. Il convient de rappeler que la maintenance coûte près de 15 milliards de FCFA par an à la SIR. Mise en place à la demande des raffineurs africains, l’ARA s’est donné pour action de constituer un creuset de synergie, de solidarité et de développement entre ses membres, à travers des débats et des échanges d’idées et d’expériences dans tous les domaines du raffinage. L’ARA réfléchit également sur les problèmes économiques, écologiques et sociaux qui sont considérés par ses membres comme ayant un impact sur le raffinage du pétrole en Afrique, ou sur l'importation de produits pétroliers vers l'Afrique. Il s’agit aussi d’améliorer les communications et la coopération entre ses membres et le marché international du pétrole. Pour atteindre cet objectif, l'ARA coopère avec les grands groupes industriels, les gouvernements, les organismes de régulation, les agences internationales, les institutions académiques et les organismes non gouvernementaux.
H.K