Kima Emile, président du Comité de soutien à l’Accord politique de Ouagadougou (APO), était récemment à Bondoukou. Répondant à l’invitation de la Fondation Fetigué Coulibaly, il s’agissait pour lui de participer à la journée de paix et de sensibilisation sur l’enrôlement et les dangers de la prolifération et de l’utilisation abusive des armes légères et les petits calibres.
Son intervention a essentiellement porté sur le sujet de l’heure : “l’Identification et l’enrôlement”.
A la forte communauté de la CEDEAO présente au centre culturel de la localité, il dira : «Je suis venu vous dire que l’enrôlement ne vous concerne pas. Laissez les Ivoiriens se faire enrôler et élire leur Président».
Poursuivant son meeting, il s’est arrêté sur les cas de fraude qui son actuellement constatés et a demandé à ses compatriotes d’aller se faire établir leur carte consulaire ou la carte d’identité de leur pays d’origine.
A l’assistance, il dira : «Celui qui se fait prendre parce qu’il a fraudé ira en prison. Ni les ambassades, encore moins moi ne pourrons faire quoi que se soit. Notre rôle est plutôt de faciliter votre vie avec nos frères qui nous ont accueillis».
Pour lui, on eu tort d’accuser la Côte d’Ivoire d’être un pays xénophobe. Ce pays est plutôt une terre d’accueil qui a tout donné à ses hôtes. C’est pourquoi il a rendu un vibrant hommage au Président Laurent Gbagbo pour avoir supprimé la carte de séjour instituée par Alassane Dramane Ouattara. Cette carte, a-t-il insisté, a causé la mort de beaucoup étrangers et occasionné la fraude sur la nationalité. C’est donc pour lui une nouvelle ère qui commence pour les burkinabé et les autres ressortissants de la CEDEAO à qui il a demandé de soutenir l’APO.
A ces derniers il conseillera le respect des lois de la terre d’accueil, seul gage d’une vie harmonieuse et prospère dans une Côte d’ivoire réconciliée avec elle-même et tous ses voisins.
Au sujet de la crise, il a dit que le plus difficile est passé et a demandé, pour la circonstance, à ses parents de faire attention aux politiciens démagogues et de peu de moralité qui ne cessent de remuer le couteau dans la plaie.
Avant lui, c’est Bamba Salia, secrétaire général de la Fondation Fetigué Coulibaly, qui a pris la parole. Le thème de cette journée, selon lui, se justifiait par le début de l’enrôlement à Bondoukou et par leur souci de sensibiliser tout le monde. D’abord les ivoiriens afin qu’ils se mobilisent pour se faire enrôler et, ensuite, les ressortissants CEDEAO qui ne sont pas concernés par cette opération.
Bondoukou, notera-t-il fait frontière avec le Ghana, mais regorge une forte communauté étrangère. Aux personnes présentes dans la salle, il a demandé de porter loin le message de Kima Emile, ce vagabond de la paix, et de continuer d’entretenir des rapports cordiaux et fraternels avec les ivoiriens.
Au nom du RASALAO –CI, c’est kouassi Kouman qui prendra la parole. Son exposé a permis à l’assistance de saisir la notion d’armes légères et de petits calibres. La crise débutée le 19 septembre 2002 a favorisé l’apparition d’armes de toutes sortes en Côte d’Ivoire. Le combat, selon lui, est d’amener les pays de la CEDEAO à ratifier tous les accords et même de faire disparaître les armes du quotidien des populations et réduire la violence et les tueries. Pour cela, il a demandé au gouvernement de prendre ses responsabilités et de permettre le port des armes qu’à ceux qui en ont le droit.
Le parrain de la journée, lui, s’est évertué à encourager la Fondation Fetigué Coulibaly pour ses actions en faveur du développement de Bondoukou et a remercié le Président Kima Emile pour son implication dans la décrispation de l’atmosphère en Côte d’Ivoire.
Adolphe Ouattara adolphe_ouattara@yahoo.fr
Son intervention a essentiellement porté sur le sujet de l’heure : “l’Identification et l’enrôlement”.
A la forte communauté de la CEDEAO présente au centre culturel de la localité, il dira : «Je suis venu vous dire que l’enrôlement ne vous concerne pas. Laissez les Ivoiriens se faire enrôler et élire leur Président».
Poursuivant son meeting, il s’est arrêté sur les cas de fraude qui son actuellement constatés et a demandé à ses compatriotes d’aller se faire établir leur carte consulaire ou la carte d’identité de leur pays d’origine.
A l’assistance, il dira : «Celui qui se fait prendre parce qu’il a fraudé ira en prison. Ni les ambassades, encore moins moi ne pourrons faire quoi que se soit. Notre rôle est plutôt de faciliter votre vie avec nos frères qui nous ont accueillis».
Pour lui, on eu tort d’accuser la Côte d’Ivoire d’être un pays xénophobe. Ce pays est plutôt une terre d’accueil qui a tout donné à ses hôtes. C’est pourquoi il a rendu un vibrant hommage au Président Laurent Gbagbo pour avoir supprimé la carte de séjour instituée par Alassane Dramane Ouattara. Cette carte, a-t-il insisté, a causé la mort de beaucoup étrangers et occasionné la fraude sur la nationalité. C’est donc pour lui une nouvelle ère qui commence pour les burkinabé et les autres ressortissants de la CEDEAO à qui il a demandé de soutenir l’APO.
A ces derniers il conseillera le respect des lois de la terre d’accueil, seul gage d’une vie harmonieuse et prospère dans une Côte d’ivoire réconciliée avec elle-même et tous ses voisins.
Au sujet de la crise, il a dit que le plus difficile est passé et a demandé, pour la circonstance, à ses parents de faire attention aux politiciens démagogues et de peu de moralité qui ne cessent de remuer le couteau dans la plaie.
Avant lui, c’est Bamba Salia, secrétaire général de la Fondation Fetigué Coulibaly, qui a pris la parole. Le thème de cette journée, selon lui, se justifiait par le début de l’enrôlement à Bondoukou et par leur souci de sensibiliser tout le monde. D’abord les ivoiriens afin qu’ils se mobilisent pour se faire enrôler et, ensuite, les ressortissants CEDEAO qui ne sont pas concernés par cette opération.
Bondoukou, notera-t-il fait frontière avec le Ghana, mais regorge une forte communauté étrangère. Aux personnes présentes dans la salle, il a demandé de porter loin le message de Kima Emile, ce vagabond de la paix, et de continuer d’entretenir des rapports cordiaux et fraternels avec les ivoiriens.
Au nom du RASALAO –CI, c’est kouassi Kouman qui prendra la parole. Son exposé a permis à l’assistance de saisir la notion d’armes légères et de petits calibres. La crise débutée le 19 septembre 2002 a favorisé l’apparition d’armes de toutes sortes en Côte d’Ivoire. Le combat, selon lui, est d’amener les pays de la CEDEAO à ratifier tous les accords et même de faire disparaître les armes du quotidien des populations et réduire la violence et les tueries. Pour cela, il a demandé au gouvernement de prendre ses responsabilités et de permettre le port des armes qu’à ceux qui en ont le droit.
Le parrain de la journée, lui, s’est évertué à encourager la Fondation Fetigué Coulibaly pour ses actions en faveur du développement de Bondoukou et a remercié le Président Kima Emile pour son implication dans la décrispation de l’atmosphère en Côte d’Ivoire.
Adolphe Ouattara adolphe_ouattara@yahoo.fr