“Nous ne sommes pas concernés par cette décision solitaire. Elle ne nous engage pas. En prenant cette décision injuste, le PCA a prêché pour sa propre chapelle.” Hier, lors d’un point de presse à la Maison de la presse d’Abidjan (au Plateau), c’est à travers ces termes que les journalistes Brou Aka Pascal et Eloi Picard Koré, tous deux membres du Conseil d’administration de l’UNJCI, ont donné le ton de leur désaccord vis-à-vis de Joseph Anoma, PCA, suite à l’invalidation mardi, la candidature de David de Mobio à la présidence de l’UNJCI.
Eloi Picard Koré a d’abord résumé la réunion du CA, samedi dernier, à la Maison de la presse, en l’absence des deux autres membres, Eric Cossa et Brou Aka Pascal : “Vu que nos deux amis étaient absents, nous avons décidé de nous retrouver tous les cinq du CA, le lundi 26 janvier, en vue de statuer définitivement sur la question des candidatures à la présidence de l’UNJCI. Ce que nous avons fait ce lundi, à la Maison de la presse. Et, unanimement, devant le cas David Mobio, en vue d’aller à l’apaisement et de ne léser un quelconque candidat, nous avons donné 48h pour qu’il complète la liste qu’il conduit à 24 éléments au lieu des 21 qu’elle comportait. A l’issue de la rencontre, à 14h, c’est le PCA lui-même qui a appelé David Mobio pour l’informer de notre décision collégiale. C’est donc aujourd’hui mercredi (NDLR : hier) à 12h qu’expirent les 48 h accordées à David Mobio pour se conformer aux textes. Pourquoi donc cette précipitation du PCA ? Que recherche-t-il en fait ?”
Puis, le journaliste de Radio Côte d’Ivoire a poursuivi : “C’est par voie de presse que nous avons découvert, avec stupéfaction, que la liste conduite par David Mobio était irrecevable. Sachez que le communiqué publié dans la presse n’est que le brouillon de la réunion de samedi. Et c’est Jean-Marie Kouassi (JMK) Ahoussou (un autre membre du CA, ndlr) qui était chargé de le rédiger.
Nous dénonçons cette attitude du PCA qui ne l’honore pas”. Et Brou Aka Pascal de la télévision nationale 1ère chaîne de renchérir : “C’est inacceptable, son acte. Nous nous désolidarisons de cette décision qu’il a prise sans nous avoir tous, au préalable, avisés. Un tel acte discrédite le Conseil d’administration”.
Par ailleurs, les deux orateurs ont indiqué qu’ils ont le soutien d’Eric Cossa, leur confrère indépendant. “Il n’est pas là pour un problème de calendrier, mais aussi à cause de la célérité avec laquelle nous avons organisé ce point de presse. A preuve, il était avec nous, hier (mardi, ndlr), à la rencontre avec le cabinet du ministre de la Communication”, ont-ils confié.
M. Boguy
Eloi Picard Koré a d’abord résumé la réunion du CA, samedi dernier, à la Maison de la presse, en l’absence des deux autres membres, Eric Cossa et Brou Aka Pascal : “Vu que nos deux amis étaient absents, nous avons décidé de nous retrouver tous les cinq du CA, le lundi 26 janvier, en vue de statuer définitivement sur la question des candidatures à la présidence de l’UNJCI. Ce que nous avons fait ce lundi, à la Maison de la presse. Et, unanimement, devant le cas David Mobio, en vue d’aller à l’apaisement et de ne léser un quelconque candidat, nous avons donné 48h pour qu’il complète la liste qu’il conduit à 24 éléments au lieu des 21 qu’elle comportait. A l’issue de la rencontre, à 14h, c’est le PCA lui-même qui a appelé David Mobio pour l’informer de notre décision collégiale. C’est donc aujourd’hui mercredi (NDLR : hier) à 12h qu’expirent les 48 h accordées à David Mobio pour se conformer aux textes. Pourquoi donc cette précipitation du PCA ? Que recherche-t-il en fait ?”
Puis, le journaliste de Radio Côte d’Ivoire a poursuivi : “C’est par voie de presse que nous avons découvert, avec stupéfaction, que la liste conduite par David Mobio était irrecevable. Sachez que le communiqué publié dans la presse n’est que le brouillon de la réunion de samedi. Et c’est Jean-Marie Kouassi (JMK) Ahoussou (un autre membre du CA, ndlr) qui était chargé de le rédiger.
Nous dénonçons cette attitude du PCA qui ne l’honore pas”. Et Brou Aka Pascal de la télévision nationale 1ère chaîne de renchérir : “C’est inacceptable, son acte. Nous nous désolidarisons de cette décision qu’il a prise sans nous avoir tous, au préalable, avisés. Un tel acte discrédite le Conseil d’administration”.
Par ailleurs, les deux orateurs ont indiqué qu’ils ont le soutien d’Eric Cossa, leur confrère indépendant. “Il n’est pas là pour un problème de calendrier, mais aussi à cause de la célérité avec laquelle nous avons organisé ce point de presse. A preuve, il était avec nous, hier (mardi, ndlr), à la rencontre avec le cabinet du ministre de la Communication”, ont-ils confié.
M. Boguy
