Roman Abramovitch s’apprête à céder une grande part de ses actions à la tête du club londonien de Chelsea. Au plus mal financièrement, il envisage sérieusement d’accepter l’offre de rachat qui lui a été faite par un consortium multinational.
Le divorce semble être tout proche entre Abramovitch et Chelsea. L’histoire aura duré un peu plus de cinq ans entre les Blues et l’oligarque originaire de la Sibérie. Ce dernier, lassé par la perte des innombrables millions qu’il a investis dans ce club, n’a plus l’intention de gâcher son argent du côté de Stamford Bridge. Ce désintérêt, accru avec la crise financière, a interpellé un groupe de huit investisseurs, à en croire l’agence de presse Reuters. Le consortium en question pense sérieusement libérer Abramovitch de l’énorme poids qu’il trimballe en lui faisant une offre des plus séduisantes pour le rachat du club londonien.
Chelsea comme City ?
Holger Heims, un investisseur allemand appartenant à la société Falcion Equity, a révélé, dans une interview accordée à The Independent, que lui, ainsi que six autres investisseurs émanant des différents coins d’Europe, mais aussi d’Asie et du Moyen-Orient sont sur le point de formuler une offre à laquelle Abramovitch ne pourra assurément pas résister. Si l’on en croit certaines sources bien informées, Sulaiman Al-Fahim, un membre de la Abu Dhabi United Group for Development & Interest, qui a racheté Manchester City l’été dernier, ferait partie de ce groupe de vautours. Son souhait est d’allonger son carnet de contacts ainsi que son champ d’action et le rachat de Chelsea lui apparaît comme la solution idoine en ce sens. Heims a certifié qu’aucune proposition officielle n’a encore été faite, mais le quotidien allemand Bild a révélé dernièrement dans ses colonnes l’ampleur de cette future transaction : 715M£, ce qui équivaut à 766M€.
« Nous n’avons aucune intention de faire les choses par la manière forte. Il s’agira d’une approche on ne peut plus amicale », a certifié Heims. Des propos dont on peut s’en convaincre assez facilement et pour cause : Abramovitch, lui-même, n’attend que cela, suite à l’affaiblissement de son capital personnel, mais aussi la dégradation constante des résultats de l’équipe première du club. Heims et ses disciples ont de la suite dans les idées, puisque leur objectif est non seulement de réussir là où Abramovitch a échoué, mais aussi améliorer l’image de Chelsea en Asie et dans le Golf persique. Des projets on ne peut plus prétentieux, qui font néanmoins craindre l’équipe aux vrais supporters de Chelsea, ceux qui assistent depuis quelques années à l’effritement des valeurs du club. Ce rachat n’est encore qu’une simple hypothèse, mais il y aura assurément fort à parier que la fin de Chelski touche à sa fin et que l’avènement d’Al Chelsi n’est plus qu’une question de temps.
Goal.com
Le divorce semble être tout proche entre Abramovitch et Chelsea. L’histoire aura duré un peu plus de cinq ans entre les Blues et l’oligarque originaire de la Sibérie. Ce dernier, lassé par la perte des innombrables millions qu’il a investis dans ce club, n’a plus l’intention de gâcher son argent du côté de Stamford Bridge. Ce désintérêt, accru avec la crise financière, a interpellé un groupe de huit investisseurs, à en croire l’agence de presse Reuters. Le consortium en question pense sérieusement libérer Abramovitch de l’énorme poids qu’il trimballe en lui faisant une offre des plus séduisantes pour le rachat du club londonien.
Chelsea comme City ?
Holger Heims, un investisseur allemand appartenant à la société Falcion Equity, a révélé, dans une interview accordée à The Independent, que lui, ainsi que six autres investisseurs émanant des différents coins d’Europe, mais aussi d’Asie et du Moyen-Orient sont sur le point de formuler une offre à laquelle Abramovitch ne pourra assurément pas résister. Si l’on en croit certaines sources bien informées, Sulaiman Al-Fahim, un membre de la Abu Dhabi United Group for Development & Interest, qui a racheté Manchester City l’été dernier, ferait partie de ce groupe de vautours. Son souhait est d’allonger son carnet de contacts ainsi que son champ d’action et le rachat de Chelsea lui apparaît comme la solution idoine en ce sens. Heims a certifié qu’aucune proposition officielle n’a encore été faite, mais le quotidien allemand Bild a révélé dernièrement dans ses colonnes l’ampleur de cette future transaction : 715M£, ce qui équivaut à 766M€.
« Nous n’avons aucune intention de faire les choses par la manière forte. Il s’agira d’une approche on ne peut plus amicale », a certifié Heims. Des propos dont on peut s’en convaincre assez facilement et pour cause : Abramovitch, lui-même, n’attend que cela, suite à l’affaiblissement de son capital personnel, mais aussi la dégradation constante des résultats de l’équipe première du club. Heims et ses disciples ont de la suite dans les idées, puisque leur objectif est non seulement de réussir là où Abramovitch a échoué, mais aussi améliorer l’image de Chelsea en Asie et dans le Golf persique. Des projets on ne peut plus prétentieux, qui font néanmoins craindre l’équipe aux vrais supporters de Chelsea, ceux qui assistent depuis quelques années à l’effritement des valeurs du club. Ce rachat n’est encore qu’une simple hypothèse, mais il y aura assurément fort à parier que la fin de Chelski touche à sa fin et que l’avènement d’Al Chelsi n’est plus qu’une question de temps.
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