"Si l'opération d'identification et d'enrôlement piétine depuis son lancement, c'est la faute à la Sagem security qui a fait croire à l'Etat ivoirien qu'elle était suffisamment outillée pour bien mener l'opération. Or il n’ en est rien. A Abengourou, sur 133 centres de collecte à ouvrir, seulement 76 ont été ouverts. La SAGEM est incapable et incompétente à fournir toutes les valises nécessaires. C'est pourquoi la CEI est obligée de fermer certains centres pour les délocaliser".
M. Ettien Amoikon, secrétaire général de la Fédération FPI d'Aben-gourou, dénonçait, le dimanche 1er février 2009, l'incompétence de la Sagem à réaliser l'opération d'enrôlement des ivoiriens. C'était à l'occasion de la tenue de l'assemblée générale extraordinaire ce jour-là au siège dudit parti sis au quartier Relais Agni. Il a dénoncé cet état de fait parce que la Sagem n'a pas pu réunir toutes les valises prévues pour cette opération. Alors que l'Etat ivoirien a débloqué et continue de débloquer de l'argent pour que cette opération se déroule normalement.
Concernant la fermeture de certains centres de collecte dans la commune d'Abengourou, M. Ettien Amoikon a demandé à ceux qui ne se sont pas encore fait recenser de se rendre dans les centres encore ouverts. A ce propos, il a recommandé aux secrétaires des sections FPI de continuer la sensibilisation sur le terrain.
Parlant des nombreux cas de fraude dans la région du Moyen-Comoé, le Fédéral a dit qu’ils sont imputables à certaines femmes. Qui, pour des raisons financières, prêtent leur nom aux enfants des familles burkinabè, guinéennes, maliennes, etc . Aussi a-t-il recommandé de signaler les cas de fraude à la gendarmerie ou à la police selon la situation géographique de la localité concernée. "Nous vous demandons de faire comme les jeunes de Sankadiokro qui, à chaque cas de fraude, s'arrangent à relever les numéros des jugements des pétitionnaires et leurs noms, ainsi que ceux de leurs parents, puis les déposent à la gendarmerie", a fait remarquer M. Ettien Amoikon.
Aux militants, il a demandé de payer leurs cartes du parti. Parce que c’est ce qui peut permettre à la Fédération de fonctionner normalement.
Jean Goudalé
M. Ettien Amoikon, secrétaire général de la Fédération FPI d'Aben-gourou, dénonçait, le dimanche 1er février 2009, l'incompétence de la Sagem à réaliser l'opération d'enrôlement des ivoiriens. C'était à l'occasion de la tenue de l'assemblée générale extraordinaire ce jour-là au siège dudit parti sis au quartier Relais Agni. Il a dénoncé cet état de fait parce que la Sagem n'a pas pu réunir toutes les valises prévues pour cette opération. Alors que l'Etat ivoirien a débloqué et continue de débloquer de l'argent pour que cette opération se déroule normalement.
Concernant la fermeture de certains centres de collecte dans la commune d'Abengourou, M. Ettien Amoikon a demandé à ceux qui ne se sont pas encore fait recenser de se rendre dans les centres encore ouverts. A ce propos, il a recommandé aux secrétaires des sections FPI de continuer la sensibilisation sur le terrain.
Parlant des nombreux cas de fraude dans la région du Moyen-Comoé, le Fédéral a dit qu’ils sont imputables à certaines femmes. Qui, pour des raisons financières, prêtent leur nom aux enfants des familles burkinabè, guinéennes, maliennes, etc . Aussi a-t-il recommandé de signaler les cas de fraude à la gendarmerie ou à la police selon la situation géographique de la localité concernée. "Nous vous demandons de faire comme les jeunes de Sankadiokro qui, à chaque cas de fraude, s'arrangent à relever les numéros des jugements des pétitionnaires et leurs noms, ainsi que ceux de leurs parents, puis les déposent à la gendarmerie", a fait remarquer M. Ettien Amoikon.
Aux militants, il a demandé de payer leurs cartes du parti. Parce que c’est ce qui peut permettre à la Fédération de fonctionner normalement.
Jean Goudalé