Plus rien ne va au sein de la section locale du mouvement national scolaire et estudiantin.
Une crise de leadership, interne au bureau local de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (Fesci) du lycée moderne de Zuénoula, s’est transformée, mercredi en chasse à l’homme occasionnant des blessés et la fermeture des lycées et collèges de la ville. Selon les informations recueillies par téléphone, deux groupes rivaux issus du même syndicat, voulant contrôler la direction de la Fesci, se sont affrontés à l’arme blanche (couteaux, machettes, chaînes, morceaux de fer, gourdins, etc.) et aux projectiles dans la cour de ce lycée. Les manifestations qui ont commencé timidement dans la matinée du mardi 3 février se sont intensifiées le lendemain. Ces affrontements ont fait 4 blessés dont un cas grave. Il s’agit de Doua Bi Gala Eric, en classe de 3e, toujours selon nos sources. La police locale a dispersé les manifestants. Mais, ces derniers se sont rendus dans les autres établissements de la ville pour déloger enseignants et élèves. Hier jeudi, le calme est revenu, mais toutes ces écoles sont restées fermées par mesure de sécurité.
Kouamé Alfred
Correspondant
Une crise de leadership, interne au bureau local de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (Fesci) du lycée moderne de Zuénoula, s’est transformée, mercredi en chasse à l’homme occasionnant des blessés et la fermeture des lycées et collèges de la ville. Selon les informations recueillies par téléphone, deux groupes rivaux issus du même syndicat, voulant contrôler la direction de la Fesci, se sont affrontés à l’arme blanche (couteaux, machettes, chaînes, morceaux de fer, gourdins, etc.) et aux projectiles dans la cour de ce lycée. Les manifestations qui ont commencé timidement dans la matinée du mardi 3 février se sont intensifiées le lendemain. Ces affrontements ont fait 4 blessés dont un cas grave. Il s’agit de Doua Bi Gala Eric, en classe de 3e, toujours selon nos sources. La police locale a dispersé les manifestants. Mais, ces derniers se sont rendus dans les autres établissements de la ville pour déloger enseignants et élèves. Hier jeudi, le calme est revenu, mais toutes ces écoles sont restées fermées par mesure de sécurité.
Kouamé Alfred
Correspondant