Tête de liste pour l’élection imminente à la présidence du Conseil exécutif de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), Inza Kigbafory a lancé sa campagne, hier, à l’hôtel Ivotel, au Plateau. Quatre temps ont marqué la cérémonie notamment la présentation de la liste de 24 membres et son programme et sa vision à travers le slogan, “Un vent nouveau doit souffler sur l’UNJCI. Osez Inza !”
Son programme dit “de rupture” s’articule autour de 8 points, dont redonner à l’UNJCI sa force politique, construire une politique cohérente de sécurité sociale, instaurer un mécanisme transparent de gestion des fonds, inscrire le renforcement des capacités au cœur des activités, répondre à l’urgence de l’intégration et de l’ouverture au monde, réformer le prix Ebony. Des thèmes qui ont été expliqués dans les moindres détails par le maître de cérémonie, Simplice Allard.
De son côté, le directeur de campagne Robert Kra a développé la vision de son candidat. Pour lui,
“l’UNJCI doit (…) avoir à sa tête des personnes nouvelles aux idées novatrices et révolutionnaires”. Pour y arriver, a-t-il soutenu, il faut revoir les problèmes à la base car “le système électoral doit être radicalement modifié pour éviter l’entretien d’un bétail électoral”.
Par ailleurs, il a proposé que le congrès, prévu pour les 13, 14 et 15 février prochain, se déroule dans la banlieue abidjanaise ou à Abidjan et non à Yamoussoukro pour garantir une grande participation des journalistes.
Quant à la tête de liste, Inza Kigbafory, il a déroulé ses motivations. “Si nous voulons être une Union qui compte en Côte d’Ivoire et dans le paysage médiatique sous régional, nous devons réformer ce qui ne va pas ; nous devons mettre fin à la crise des valeurs qui s’y installe subrepticement. L’UNJCI dont nous rêvons est celle qui aura compris que le monde de demain ne sera que dans le mélange, l’ouverture, la rencontre ou ne sera pas. Nous voulons être aussi un conseil exécutif qui incarne l’audacieuse jeunesse. Nous ferons tout pour qu’une UNJCI impartiale et indépendante assume pleinement son rôle de force de proposition politique et soit pour les journalistes de toutes les opinions et de toutes conditions le garant de leurs droits, le souffleur de leurs devoirs et le protecteur de leurs libertés”, a martelé le candidat à qui il ne reste plus qu’à battre campagne dans les rédactions abidjanaises.
Marcellin Boguy
Son programme dit “de rupture” s’articule autour de 8 points, dont redonner à l’UNJCI sa force politique, construire une politique cohérente de sécurité sociale, instaurer un mécanisme transparent de gestion des fonds, inscrire le renforcement des capacités au cœur des activités, répondre à l’urgence de l’intégration et de l’ouverture au monde, réformer le prix Ebony. Des thèmes qui ont été expliqués dans les moindres détails par le maître de cérémonie, Simplice Allard.
De son côté, le directeur de campagne Robert Kra a développé la vision de son candidat. Pour lui,
“l’UNJCI doit (…) avoir à sa tête des personnes nouvelles aux idées novatrices et révolutionnaires”. Pour y arriver, a-t-il soutenu, il faut revoir les problèmes à la base car “le système électoral doit être radicalement modifié pour éviter l’entretien d’un bétail électoral”.
Par ailleurs, il a proposé que le congrès, prévu pour les 13, 14 et 15 février prochain, se déroule dans la banlieue abidjanaise ou à Abidjan et non à Yamoussoukro pour garantir une grande participation des journalistes.
Quant à la tête de liste, Inza Kigbafory, il a déroulé ses motivations. “Si nous voulons être une Union qui compte en Côte d’Ivoire et dans le paysage médiatique sous régional, nous devons réformer ce qui ne va pas ; nous devons mettre fin à la crise des valeurs qui s’y installe subrepticement. L’UNJCI dont nous rêvons est celle qui aura compris que le monde de demain ne sera que dans le mélange, l’ouverture, la rencontre ou ne sera pas. Nous voulons être aussi un conseil exécutif qui incarne l’audacieuse jeunesse. Nous ferons tout pour qu’une UNJCI impartiale et indépendante assume pleinement son rôle de force de proposition politique et soit pour les journalistes de toutes les opinions et de toutes conditions le garant de leurs droits, le souffleur de leurs devoirs et le protecteur de leurs libertés”, a martelé le candidat à qui il ne reste plus qu’à battre campagne dans les rédactions abidjanaises.
Marcellin Boguy
