L’opération d’identification de la population et de recensement électoral piétine dans la localité de Gbélégban, situé à un plus de 80 km d’Odienné «Ce n’est plus la grande affluence des débuts où, pour espérer avoir la chance d’être enrôlés, certains pétitionnaires passaient la nuit devant les centres…», constate un chef de centre.
Abondant dans le même sens, Mme Cissé Fatogoma de l’INS indique : «maintenant, c’est au compte-gouttes que les pétitionnaires arrivent …».
Malgré le manque d’engouement, l’on note tout de même l’identification de 700 personnes sur une population estimée à 4000. Un résultat qui est loin d’être «satisfaisant».
Au nombre des difficultés, la lenteur dans la délivrance des extraits de naissance à la mairie et la présentation de documents inappropriés par certains pétitionnaires.
Pour y remédier, la CEI d’Odienné compte entamer une grande campagne de sensibilisation dans les tout prochains jours. «Nous lançons un appel aux différents partis politiques, aux autorités administratives, aux responsables coutumiers et aux guides religieux afin que chacun, à son niveau, s’implique dans la sensibilisation de la population… La condition sine qua non de l’atteinte de nos objectifs dans cette opération nationale d’identification passe par le soutien de tous à la Cei et à ses partenaires techniques», lance le président local de la CEI, qui s’est confié à nous.
Gervais Amany Envoyé spécial
Abondant dans le même sens, Mme Cissé Fatogoma de l’INS indique : «maintenant, c’est au compte-gouttes que les pétitionnaires arrivent …».
Malgré le manque d’engouement, l’on note tout de même l’identification de 700 personnes sur une population estimée à 4000. Un résultat qui est loin d’être «satisfaisant».
Au nombre des difficultés, la lenteur dans la délivrance des extraits de naissance à la mairie et la présentation de documents inappropriés par certains pétitionnaires.
Pour y remédier, la CEI d’Odienné compte entamer une grande campagne de sensibilisation dans les tout prochains jours. «Nous lançons un appel aux différents partis politiques, aux autorités administratives, aux responsables coutumiers et aux guides religieux afin que chacun, à son niveau, s’implique dans la sensibilisation de la population… La condition sine qua non de l’atteinte de nos objectifs dans cette opération nationale d’identification passe par le soutien de tous à la Cei et à ses partenaires techniques», lance le président local de la CEI, qui s’est confié à nous.
Gervais Amany Envoyé spécial