A dix jours la visite de 72 heures que la Mutuelle des agents de la Refondation (MUTAREF) va effectuer à fresco, M. Henri-César Sama, principal initiateur de cette action, livre ses sentiments.
Notre Voie : La Mutuelle des agents de la Refondation arrive bientôt dans votre département pour 3 jours de visite. Quels sont vos sentiments ?
Henri-César Sama : C’est un grand sentiment de joie parce qu’une Mutuelle aussi importante que celle des agents de la Refondation, auxquels s'ajoutent des journalistes de certains organes de presse arrive dans le département de Fresco. C’est un grand événement auquel nous tenons beaucoup. Qui mieux que les journalistes peut relayer les informations si importantes et qui peuvent nous aider à développer Fresco ? Il n'y a pas meilleure opportunité que celle-là. Nous saisissons cette occasion pour remercier les journalistes du Groupe la Refondation qui ont accepté de venir à Fresco et qui n'ont pas voulu être égoïstes parce qu'ils ont associé d'autres amis à cette visite. Donc Fresco attend les agents de développement.
N.V. : La population est-elle vraiment mobilisée pour cette visite de la MUTAREF ?
H.C.S. : Dans ce département, nous ne pouvons pas associer notre nom à une affaire où il ya peu de mobilisation. Ce n'est pas pour nous vanter. Nous allons promouvoir le développement du nouveau département de Fresco. Et la Mutuelle des agents de la Refondation nous donne cette opportunité que nous devons saisir. Tous les cadres, jeunes, enfants et populations de Fresco sont donc heureux de saisir cette opportunité pour que le nom de notre département soit porté très haut. Venez, vous allez voir et vous rendre compte que la mobilisation totale.
N.V. : Quels sont les atouts économiques du département de Fresco ?
H.C.S. : Comme dans le programme de la visite il y a une conférence que nous allons animer dont le thème se rapporte à la question que vous venez de me poser souffrez donc que nous n'y répondions pas pendant cet entretien. Quand vous arriverez à Fresco, on vous parlera des atouts économiques mais des difficultés aussi. Vous les verrez en image et de façon physique. Rassurez-vous on parlera de Fresco.
N.V. : Quelles seraient vos priorités si la population vous confiait le développement de ce département ?
H.C.S. : Nous n'avons pas eu besoin que la population nous confie le développement de Fresco avant de nous mettre au travail. Nous nous battons pour apporter le bien-être à nos parents. Nous pensons que nous sommes en phase avec les populations de Fresco.
N.V. : En tant que cadre de Fresco avez-vous posé quelques actions au profit de vos parents ?
H.C.S. : Toute modestie mise à part, nous avons posé des actes. Nous avons nettoyé le front lagunaire de Fresco sur fonds propre d'un montant de 9 millions de francs CFA en 2000. Nous avons également contribué à l'électrification de Dassioko. Ensuite à la construction d'un château d'eau dont l'inauguration est prévue le 5 mars 2009. A Okromodou (Fresco), nous avons participé sur fonds propre à la confection de la plante-forme pour l'acquisition d'un groupe électrogène. Aujourd'hui ce village est électrifié. Chaque jour nous donne l'occasion de contribuer au développement de Fresco. Mais nous le faisons dans la discrétion. En toute humilité. Nous n'avons pas besoin de faire de la publicité sur tout ce que nous faisons.
Entretien réalisé par Jean Goudalé à Fresco
Notre Voie : La Mutuelle des agents de la Refondation arrive bientôt dans votre département pour 3 jours de visite. Quels sont vos sentiments ?
Henri-César Sama : C’est un grand sentiment de joie parce qu’une Mutuelle aussi importante que celle des agents de la Refondation, auxquels s'ajoutent des journalistes de certains organes de presse arrive dans le département de Fresco. C’est un grand événement auquel nous tenons beaucoup. Qui mieux que les journalistes peut relayer les informations si importantes et qui peuvent nous aider à développer Fresco ? Il n'y a pas meilleure opportunité que celle-là. Nous saisissons cette occasion pour remercier les journalistes du Groupe la Refondation qui ont accepté de venir à Fresco et qui n'ont pas voulu être égoïstes parce qu'ils ont associé d'autres amis à cette visite. Donc Fresco attend les agents de développement.
N.V. : La population est-elle vraiment mobilisée pour cette visite de la MUTAREF ?
H.C.S. : Dans ce département, nous ne pouvons pas associer notre nom à une affaire où il ya peu de mobilisation. Ce n'est pas pour nous vanter. Nous allons promouvoir le développement du nouveau département de Fresco. Et la Mutuelle des agents de la Refondation nous donne cette opportunité que nous devons saisir. Tous les cadres, jeunes, enfants et populations de Fresco sont donc heureux de saisir cette opportunité pour que le nom de notre département soit porté très haut. Venez, vous allez voir et vous rendre compte que la mobilisation totale.
N.V. : Quels sont les atouts économiques du département de Fresco ?
H.C.S. : Comme dans le programme de la visite il y a une conférence que nous allons animer dont le thème se rapporte à la question que vous venez de me poser souffrez donc que nous n'y répondions pas pendant cet entretien. Quand vous arriverez à Fresco, on vous parlera des atouts économiques mais des difficultés aussi. Vous les verrez en image et de façon physique. Rassurez-vous on parlera de Fresco.
N.V. : Quelles seraient vos priorités si la population vous confiait le développement de ce département ?
H.C.S. : Nous n'avons pas eu besoin que la population nous confie le développement de Fresco avant de nous mettre au travail. Nous nous battons pour apporter le bien-être à nos parents. Nous pensons que nous sommes en phase avec les populations de Fresco.
N.V. : En tant que cadre de Fresco avez-vous posé quelques actions au profit de vos parents ?
H.C.S. : Toute modestie mise à part, nous avons posé des actes. Nous avons nettoyé le front lagunaire de Fresco sur fonds propre d'un montant de 9 millions de francs CFA en 2000. Nous avons également contribué à l'électrification de Dassioko. Ensuite à la construction d'un château d'eau dont l'inauguration est prévue le 5 mars 2009. A Okromodou (Fresco), nous avons participé sur fonds propre à la confection de la plante-forme pour l'acquisition d'un groupe électrogène. Aujourd'hui ce village est électrifié. Chaque jour nous donne l'occasion de contribuer au développement de Fresco. Mais nous le faisons dans la discrétion. En toute humilité. Nous n'avons pas besoin de faire de la publicité sur tout ce que nous faisons.
Entretien réalisé par Jean Goudalé à Fresco