La première édition du Championnat d’Afrique des nations (CHAN) qu’accueille la Côte d’Ivoire du 22 février au 8 mars 2009 approche. M. Jacques Anouma multiplie les rencontres pour créer l’effervescence populaire autour de cet évènement voulu par la Confédération africaine de football. Au comité local d’organisation de cette compétition baptisé COCHAN (Comité d’organisation du Championnat d’Afrique des nations), toutes les commissions s’activent pour jouer leur partition avec le maximum d’efficacité afin que soit gagné le pari de l’organisation.
Une seule personne semble ne pas être dans le tempo. Il s’agit de Mme Nathalie Basque, la directrice exécutive du COCHAN. D’un commerce peu agréable, elle veut toujours en imposer à tout le monde. En dépit du bon sens, de la courtoisie. Regardant les autres de très haut, elle rabroue, froisse très facilement la sensibilité des travailleurs du siège du COCHAN et de ses interlocuteurs, journalistes y compris. Ses frasques irritent de plus en plus. Et les gens sont à la frontière du supportable. Si les victimes n’ont jusque-là pas ouvert les hostilités, ce n’est point par faiblesse. Mais plutôt dans l’intérêt bien compris du CHAN perçu comme une cause nationale.
Il est donc temps, grand temps, que Mme Nathalie Basque soit rappelée à l’ordre. Si rien n’est fait, la directrice exécutive du COCHAN, dans son territoire de Biétry, pourrait même se croire fondée à éconduire des visiteurs étrangers que la Côte d’Ivoire s’apprête à recevoir avec joie, sportivité et surtout fraternité. Tout mutisme de ceux qui ont le pouvoir de remonter les bretelles à la directrice exécutive du COCHAN pourrait être tout simplement interprété comme un silence complice. Alors, il faut agir vite et bien avant que le pire n’arrive. Pour tout dire, Mme Basque, y en a marre.
Roger Okou Vabé rogerokou@yahoo.fr
Une seule personne semble ne pas être dans le tempo. Il s’agit de Mme Nathalie Basque, la directrice exécutive du COCHAN. D’un commerce peu agréable, elle veut toujours en imposer à tout le monde. En dépit du bon sens, de la courtoisie. Regardant les autres de très haut, elle rabroue, froisse très facilement la sensibilité des travailleurs du siège du COCHAN et de ses interlocuteurs, journalistes y compris. Ses frasques irritent de plus en plus. Et les gens sont à la frontière du supportable. Si les victimes n’ont jusque-là pas ouvert les hostilités, ce n’est point par faiblesse. Mais plutôt dans l’intérêt bien compris du CHAN perçu comme une cause nationale.
Il est donc temps, grand temps, que Mme Nathalie Basque soit rappelée à l’ordre. Si rien n’est fait, la directrice exécutive du COCHAN, dans son territoire de Biétry, pourrait même se croire fondée à éconduire des visiteurs étrangers que la Côte d’Ivoire s’apprête à recevoir avec joie, sportivité et surtout fraternité. Tout mutisme de ceux qui ont le pouvoir de remonter les bretelles à la directrice exécutive du COCHAN pourrait être tout simplement interprété comme un silence complice. Alors, il faut agir vite et bien avant que le pire n’arrive. Pour tout dire, Mme Basque, y en a marre.
Roger Okou Vabé rogerokou@yahoo.fr
