“Les assurances données par le Président de la République nous réconforte que le programme que la Côte d’Ivoire va entamer avec la communauté internationale est un programme qui respire la bonne gouvernance”, a déclaré Arend kouwenaard, chef de mission du Fonds monétaire international (FMI) qui conduisait une mission conjointe du FMI, de la Banque mondiale et de la Banque africaine de développement (BAD) à l’audience, hier vendredi 13 février, avec le chef de l’Etat ivoirien. Il indiqué que Laurent Gbagbo a réaffirmé son engagement de renouer avec les Institutions de Bretton Woods et la BAD. “Après 8 ans de crise, on est arrivé à la conclusion que la paix est là. Et donc, nous allons entamer un programme qui était très attendu et qui doit ouvrir la voie de l’allègement de la dette de la Côte d’Ivoire”, a révélé M. Kouwenaard.
Le chef de l’Etat ivoirien a rassuré tout ce beau monde pour qu’il y ait la traçabilité dans la gestion des ressources publiques. Notamment des ressources du pétrole et d’autres ressources de l’Etat. Du budget 2009, le Président Gbagbo a dit que le gouvernement ivoirien veillera à faire des économies de façon plus efficace qu’il ne l’a fait jusqu’à maintenant. Justement pour dégager des ressources pour la sortie de crise et pour les investissements et la réhabilitation des services sociaux. “Nous étions contents d’être rassurés qu’on peut encore faire des économies au niveau de la fonction publique. 2009 est une année cruciale. On a besoin de beaucoup de ressources pour les dépenses sociale, pour convaincre les bailleurs de fonds pour alléger la dette du pays”, a encore indiqué le chef de la délégation.
Robert Krassault ciurbaine@yahoo.fr
Le chef de l’Etat ivoirien a rassuré tout ce beau monde pour qu’il y ait la traçabilité dans la gestion des ressources publiques. Notamment des ressources du pétrole et d’autres ressources de l’Etat. Du budget 2009, le Président Gbagbo a dit que le gouvernement ivoirien veillera à faire des économies de façon plus efficace qu’il ne l’a fait jusqu’à maintenant. Justement pour dégager des ressources pour la sortie de crise et pour les investissements et la réhabilitation des services sociaux. “Nous étions contents d’être rassurés qu’on peut encore faire des économies au niveau de la fonction publique. 2009 est une année cruciale. On a besoin de beaucoup de ressources pour les dépenses sociale, pour convaincre les bailleurs de fonds pour alléger la dette du pays”, a encore indiqué le chef de la délégation.
Robert Krassault ciurbaine@yahoo.fr