Qui osait dire que Gbagbo Laurent ne régnera pas sur la Côte d’Ivoire. Des années de longues marches de meetings à ne pas finir, vous a conduit à la victoire finale. Aujourd’hui, le rêve FPI se réalise. Oh Président, vous présidez aux destinées de notre chère patrie. Mais sachez qu’il y a de vie politique sans des alliés et des ennemis, chose que vous avez occulté dans l’élaboration de votre programme de gouvernement. La preuve, l’éclatement de cette sale guerre, qui a endeuillée plusieurs familles et occasionné l’exode des Ivoiriens dans leur propre pays.
Aujourd’hui, le peuple dans sa majorité bave, tire le diable par la queue et ne sait plus à quel Saint se vouer ; un quotidien qui se transforme au fil des années comme un labyrinthe dont nul ne connaît l’issue heureuse. Un avenir qui s’effrite. Nous savons, Président que tu es un homme bon et généreux qui ne veut pas se venger de ses ennemis. Cependant quand l’autorité Supérieure est bafouée, il faut prendre le taureau par les cornes et l’amener à la raison.
L’homme s’arrête aux apparences, mais Dieu voit le fond des cœurs.
Président, il faut avec l’aide du Saint Esprit sonder les cœurs de vos ministres, DG des Sociétés étatiques de l’Etat pour savoir, si vous regarder dans le même direction ; celui de redonner à la Côte d’Ivoire son lustre d’antan. Par votre laxisme et motus, la Côte d’Ivoire devient un Etat quelconque. Mais nous avons foi en votre foi chrétienne, c’est pour cela que le peuple attend beaucoup de vous. Car l’on a encore en mémoire cette phrase pathétique prononcée à votre arrivée mouvementée d’Itatlie. ‘‘ Si tu viens à moi avec l’épée et la lance et moi je compte sur Dieu pour combattre mes ennemis’’. Contre vent et marrée, vous avez réussi avec l’accord de Ouaga de mettre fin à une guerre qui reste vivace dans la mémoire du commun des mortels. Vos Ministres, DG de Sociétés et Collaborateurs sont devenus arrogants et voleurs mêmes. Pire, ils se moquent de la souffrance des populations. Leur seul objectif se faire plein les poches. La galère du peuple, s’en foutent…
Président, imaginez – vous et nous touchons du bois que les prisonniers de la filière Café – Cacao meurent dans les geôles de la prison ; comme ce fut le cas pour un ministre au Cameroun. Votre collègue Paul Bita se confond en excuse pour calmer les uns et les autres qui veulent prendre la rue. Vous avez accordé l’amnistie aux faiseurs de guerre qui roule carrosse sous nos tropiques, pourquoi pas eux !
La cherté de la vie, les détournements des biens publics, escroquerie à grande échelle sont légions au Palais, dans l’administration comme au Port, Petroci et autre.
Le Palais Présidentiel est devenu une basse cour ou le coq que dis- je, le chef est mis devant les faits accomplis. Attends, Président, nous tirons une sonnette d’alarme. Il faut changer les données, revoir votre copie de gestion des hommes et de la chose politique ; sinon comme SAIL, un Oint de Dieu, le peuple souverain se soulèvera contre vous. Nul ne peut contre la volonté du peuple qui représente les enfants de Dieu. Le peuple y en a marre.
Amicalement votre Dibignon Prospère
Aujourd’hui, le peuple dans sa majorité bave, tire le diable par la queue et ne sait plus à quel Saint se vouer ; un quotidien qui se transforme au fil des années comme un labyrinthe dont nul ne connaît l’issue heureuse. Un avenir qui s’effrite. Nous savons, Président que tu es un homme bon et généreux qui ne veut pas se venger de ses ennemis. Cependant quand l’autorité Supérieure est bafouée, il faut prendre le taureau par les cornes et l’amener à la raison.
L’homme s’arrête aux apparences, mais Dieu voit le fond des cœurs.
Président, il faut avec l’aide du Saint Esprit sonder les cœurs de vos ministres, DG des Sociétés étatiques de l’Etat pour savoir, si vous regarder dans le même direction ; celui de redonner à la Côte d’Ivoire son lustre d’antan. Par votre laxisme et motus, la Côte d’Ivoire devient un Etat quelconque. Mais nous avons foi en votre foi chrétienne, c’est pour cela que le peuple attend beaucoup de vous. Car l’on a encore en mémoire cette phrase pathétique prononcée à votre arrivée mouvementée d’Itatlie. ‘‘ Si tu viens à moi avec l’épée et la lance et moi je compte sur Dieu pour combattre mes ennemis’’. Contre vent et marrée, vous avez réussi avec l’accord de Ouaga de mettre fin à une guerre qui reste vivace dans la mémoire du commun des mortels. Vos Ministres, DG de Sociétés et Collaborateurs sont devenus arrogants et voleurs mêmes. Pire, ils se moquent de la souffrance des populations. Leur seul objectif se faire plein les poches. La galère du peuple, s’en foutent…
Président, imaginez – vous et nous touchons du bois que les prisonniers de la filière Café – Cacao meurent dans les geôles de la prison ; comme ce fut le cas pour un ministre au Cameroun. Votre collègue Paul Bita se confond en excuse pour calmer les uns et les autres qui veulent prendre la rue. Vous avez accordé l’amnistie aux faiseurs de guerre qui roule carrosse sous nos tropiques, pourquoi pas eux !
La cherté de la vie, les détournements des biens publics, escroquerie à grande échelle sont légions au Palais, dans l’administration comme au Port, Petroci et autre.
Le Palais Présidentiel est devenu une basse cour ou le coq que dis- je, le chef est mis devant les faits accomplis. Attends, Président, nous tirons une sonnette d’alarme. Il faut changer les données, revoir votre copie de gestion des hommes et de la chose politique ; sinon comme SAIL, un Oint de Dieu, le peuple souverain se soulèvera contre vous. Nul ne peut contre la volonté du peuple qui représente les enfants de Dieu. Le peuple y en a marre.
Amicalement votre Dibignon Prospère
