En route pour le Championnat d'Afrique des nations, les Eléphants multiplient les victoires dans leur préparation. Samedi, ils ont dominé la Guinée-Equatoriale 2-0.
Il n'y a pas de jeu, disent les observateurs avertis sans une bonne organisation. Samedi, après-midi, au stade Champroux de Marcory lors d'un match amical, face à la Guinée-Bissau (2-0), les Eléphants locaux ont produit du jeu. A 6 jours du coup d'envoi du Championnat d'Afrique des nations, l'équipe de Kouadio Georges a montré des certitudes. Organisée en 4-5-1, elle s'est imposée aux visiteurs. Devant Angban Vincent, le sélectionneur a placé Mansour Kouakou, à droite, N'Gouan Konan, à gauche, Saouré Florent et Nene bi Tra dans l'axe. Dans l'entre-jeu, Adou Dago et Diomandé Aboubacar sont à la récupération. Mangouan Kessé, à droite et Karamoko Alassane, à gauche, animent le jeu sur les côtés. Krecoumou Achielou est en soutien de Guedégbé Cordin, la pointe offensive. Dès les premiers échanges, la sélection ivoirienne se lance à l'assaut des buts du portier guinéen, Achile Pensi. Le jeu des Eléphants penche à droite. Mangouan Kessé est insaisissable sur son côté. Au milieu, Adou Dago a du muscle. Il récupère beaucoup de ballons. Derrière, Nené bi Tra est impérial. Il laisse entrevoir sa technique. Les Eléphants se créent des occasions nettes de but. Les plus nettes se situent aux 20e et 26e minutes. Mais elles sont vendangées par Guedégbé et Krecoumou. Et ce sera tout au cours des 45 premières minutes. Au retour du vestiaire, après seulement deux minutes, Mansour manque d'ouvrir le score. Il rate un penalty, suite à une faute sur Tanoh Jacques, qui était entré en jeu. Mais le Stelliste se rachète à la 67e minute, en ouvrant le score (1-0). Les Eléphants sont dans le bon wagon. Ils continuent de pousser. Le jeu penche cette fois à gauche. Avec Mangouan Kessé, qui s'est replacé. A 9 minutes de la fin, Trazié Charles, entré en jeu, plie le match. Il reprend un bon ballon de Tanoh Jacques pour le 2-0. La messe est dite. En tout cas, samedi, il y a eu du jeu chez les Eléphants, mais ils doivent travailler la finition, car on paye souvent cash ces manquements au haut niveau.
Choilio Diomandé
Il n'y a pas de jeu, disent les observateurs avertis sans une bonne organisation. Samedi, après-midi, au stade Champroux de Marcory lors d'un match amical, face à la Guinée-Bissau (2-0), les Eléphants locaux ont produit du jeu. A 6 jours du coup d'envoi du Championnat d'Afrique des nations, l'équipe de Kouadio Georges a montré des certitudes. Organisée en 4-5-1, elle s'est imposée aux visiteurs. Devant Angban Vincent, le sélectionneur a placé Mansour Kouakou, à droite, N'Gouan Konan, à gauche, Saouré Florent et Nene bi Tra dans l'axe. Dans l'entre-jeu, Adou Dago et Diomandé Aboubacar sont à la récupération. Mangouan Kessé, à droite et Karamoko Alassane, à gauche, animent le jeu sur les côtés. Krecoumou Achielou est en soutien de Guedégbé Cordin, la pointe offensive. Dès les premiers échanges, la sélection ivoirienne se lance à l'assaut des buts du portier guinéen, Achile Pensi. Le jeu des Eléphants penche à droite. Mangouan Kessé est insaisissable sur son côté. Au milieu, Adou Dago a du muscle. Il récupère beaucoup de ballons. Derrière, Nené bi Tra est impérial. Il laisse entrevoir sa technique. Les Eléphants se créent des occasions nettes de but. Les plus nettes se situent aux 20e et 26e minutes. Mais elles sont vendangées par Guedégbé et Krecoumou. Et ce sera tout au cours des 45 premières minutes. Au retour du vestiaire, après seulement deux minutes, Mansour manque d'ouvrir le score. Il rate un penalty, suite à une faute sur Tanoh Jacques, qui était entré en jeu. Mais le Stelliste se rachète à la 67e minute, en ouvrant le score (1-0). Les Eléphants sont dans le bon wagon. Ils continuent de pousser. Le jeu penche cette fois à gauche. Avec Mangouan Kessé, qui s'est replacé. A 9 minutes de la fin, Trazié Charles, entré en jeu, plie le match. Il reprend un bon ballon de Tanoh Jacques pour le 2-0. La messe est dite. En tout cas, samedi, il y a eu du jeu chez les Eléphants, mais ils doivent travailler la finition, car on paye souvent cash ces manquements au haut niveau.
Choilio Diomandé