La mère d’Affo Love révèle ce que sa fille lui a dit avant de rendre l’âme
Ce que je peux ajouter, c’est qu’elle souffrait de l’ulcère. A chaque fois, elle était anémiée. Au dernier moment, elle avait besoin de sang. J’ai appelé la secrétaire du ministre de la santé Mme Faladé pour lui demander du sang B+. Ce qu’elle a fait. Mais l’heure avait sonné, Love était déjà partie. Nous ne savions même pas que le sang avait été apporté. L’Etat a fait ce qu’il pouvait. Le ministère envoie les gens à la maison pour lui rendre visite, l’Etat ne l’a pas abandonnée, financièrement, moralement. Ses frères, ses sœurs, tout le monde a fait ce qu’il pouvait. Je crois que c’est l’heure de Love qui est arrivée. Moi, je souhaite qu’on prie beaucoup pour elle. Il faut prier beaucoup pour Love Affo. Comme elle m’a laissée, je ne sais plus ce que je dois dire. C’est elle qui doit m’enterrer, aujourd’hui c’est son tour. Il faut prier beaucoup pour elle à Abidjan. Il faut faire des messes là-bas, des veillées de prière là-bas. Beaucoup de messes d’action de grâce pour elle, pour qu’elle trouve la paix au ciel, au près de Dieu. Il ne faut pas qu’elle souffre encore là-bas. Vous savez, c’est parce qu’elle souffrait trop qu’elle refusait de vous prendre au téléphone. Elle ne voulait pas vous dire ce dont elle souffrait, voilà pourquoi à chaque fois, on vous disait qu’elle dort. Elle –même me disait vers la fin du mois de janvier, qu’elle avait l’intension d’arriver à Abidjan en février pour mieux se reposer. Elle a dit ça ! Malheureusement, la mort l’attendait. Sinon, elle a vivement souhaité de se rendre à Abidjan en févier, voilà que la mort est venue subitement pour emporter ma fille. On n’y peut rien. Je vous remercie beaucoup.
Le programme des obsèques
Des réunions successives se sont tenues au niveau de la famille. Nous avons retenu la date du samedi 28 février 2009. Les cérémonies débutent jeudi 26 février par des veillées de prières qui vont se poursuivre le vendredi 27 février. L’inhumation est prévue samedi 29 février 2009 à Porto-Novo, plus précisément à Glougbê. Voilà ce qui est retenu, et nous sommes sûrs que les populations seront de cœur avec nous, afin que cette cérémonie connaisse là réussisse, à la dimension de l’artiste elle-même. Nous comptons sur le respect du programme, nous comptons sur le public, pour que nous puissions avoir une bonne organisation.
Ce que je peux ajouter, c’est qu’elle souffrait de l’ulcère. A chaque fois, elle était anémiée. Au dernier moment, elle avait besoin de sang. J’ai appelé la secrétaire du ministre de la santé Mme Faladé pour lui demander du sang B+. Ce qu’elle a fait. Mais l’heure avait sonné, Love était déjà partie. Nous ne savions même pas que le sang avait été apporté. L’Etat a fait ce qu’il pouvait. Le ministère envoie les gens à la maison pour lui rendre visite, l’Etat ne l’a pas abandonnée, financièrement, moralement. Ses frères, ses sœurs, tout le monde a fait ce qu’il pouvait. Je crois que c’est l’heure de Love qui est arrivée. Moi, je souhaite qu’on prie beaucoup pour elle. Il faut prier beaucoup pour Love Affo. Comme elle m’a laissée, je ne sais plus ce que je dois dire. C’est elle qui doit m’enterrer, aujourd’hui c’est son tour. Il faut prier beaucoup pour elle à Abidjan. Il faut faire des messes là-bas, des veillées de prière là-bas. Beaucoup de messes d’action de grâce pour elle, pour qu’elle trouve la paix au ciel, au près de Dieu. Il ne faut pas qu’elle souffre encore là-bas. Vous savez, c’est parce qu’elle souffrait trop qu’elle refusait de vous prendre au téléphone. Elle ne voulait pas vous dire ce dont elle souffrait, voilà pourquoi à chaque fois, on vous disait qu’elle dort. Elle –même me disait vers la fin du mois de janvier, qu’elle avait l’intension d’arriver à Abidjan en février pour mieux se reposer. Elle a dit ça ! Malheureusement, la mort l’attendait. Sinon, elle a vivement souhaité de se rendre à Abidjan en févier, voilà que la mort est venue subitement pour emporter ma fille. On n’y peut rien. Je vous remercie beaucoup.
Le programme des obsèques
Des réunions successives se sont tenues au niveau de la famille. Nous avons retenu la date du samedi 28 février 2009. Les cérémonies débutent jeudi 26 février par des veillées de prières qui vont se poursuivre le vendredi 27 février. L’inhumation est prévue samedi 29 février 2009 à Porto-Novo, plus précisément à Glougbê. Voilà ce qui est retenu, et nous sommes sûrs que les populations seront de cœur avec nous, afin que cette cérémonie connaisse là réussisse, à la dimension de l’artiste elle-même. Nous comptons sur le respect du programme, nous comptons sur le public, pour que nous puissions avoir une bonne organisation.