La pauvre Love Affo était malade et personne ne s’était préoccupé de son sort. Aucune démarche officielle n’a été faite pour la sortir de cet état.
Les artistes sont des laissés pour compte car on n’a pas besoin d’eux, ils ne jouent aucun rôle pour la société dans laquelle ils vivent. Mais quand on revient à la maison après une journée bien fournie, on met de la musique ou de la comédie pour se détendre et oublier le stress de la journée. La situation politique les inspire qu’ils soient de la musique ou de la comédie, tout baigne. Les hommes politiques pendant la campagne électorale ou quand leurs intérêts sont en jeu, souvent lors des meetings politiques, deviennent momentanément des producteurs et promoteurs en suscitant l’inspiration forcée de certains artistes. Mais passé ce temps où les intérêts ne sont plus en jeu, alors ces individus sont écartés et bafoués. On les reconnaît à peine. C’est le cas que nous vivons tous les jours que Dieu fait. Sinon, comprendre que des artistes malades végètent dans le dénuement total et ce n’est qu’après leur mort qu’on s’étonne. Le cas de Love Affo nous préoccupe sérieusement au cas où on se demande si certaines autorités méritent encore la confiance des artistes. La pauvre Love Affo était malade et personne ne s’était préoccupé de son cas. Aucune démarche officielle n’a été faite pour la sortir de cet état si ce n’est que celle du médecin après la mort. C’est vrai que personne ne peut changer le destin d’un individu. Même si certaines démarches étaient menées, si la mort devrait survenir, elle nous l’arracherait sans tapage. Naturel. Mais si on se permet de négliger ces genres de situation, on se demande si ces politiciens pouvaient-ils vivre sans les artistes ? Si c’était un homme politique qui était dans une situation critique, c’est par décret qu’on l’évacuerait automatiquement quel que soit le prix à payer pour le pays. Même s’il revient mort. Ainsi va la vie des artistes au Bénin. Après la mort de nos artistes, les autorités politiques et administratives défilent pour présenter les condoléances les plus attristées à la famille éplorée alors qu’elles n’ont rien fait pour sauver l’artiste moribond.
Les artistes sont des laissés pour compte car on n’a pas besoin d’eux, ils ne jouent aucun rôle pour la société dans laquelle ils vivent. Mais quand on revient à la maison après une journée bien fournie, on met de la musique ou de la comédie pour se détendre et oublier le stress de la journée. La situation politique les inspire qu’ils soient de la musique ou de la comédie, tout baigne. Les hommes politiques pendant la campagne électorale ou quand leurs intérêts sont en jeu, souvent lors des meetings politiques, deviennent momentanément des producteurs et promoteurs en suscitant l’inspiration forcée de certains artistes. Mais passé ce temps où les intérêts ne sont plus en jeu, alors ces individus sont écartés et bafoués. On les reconnaît à peine. C’est le cas que nous vivons tous les jours que Dieu fait. Sinon, comprendre que des artistes malades végètent dans le dénuement total et ce n’est qu’après leur mort qu’on s’étonne. Le cas de Love Affo nous préoccupe sérieusement au cas où on se demande si certaines autorités méritent encore la confiance des artistes. La pauvre Love Affo était malade et personne ne s’était préoccupé de son cas. Aucune démarche officielle n’a été faite pour la sortir de cet état si ce n’est que celle du médecin après la mort. C’est vrai que personne ne peut changer le destin d’un individu. Même si certaines démarches étaient menées, si la mort devrait survenir, elle nous l’arracherait sans tapage. Naturel. Mais si on se permet de négliger ces genres de situation, on se demande si ces politiciens pouvaient-ils vivre sans les artistes ? Si c’était un homme politique qui était dans une situation critique, c’est par décret qu’on l’évacuerait automatiquement quel que soit le prix à payer pour le pays. Même s’il revient mort. Ainsi va la vie des artistes au Bénin. Après la mort de nos artistes, les autorités politiques et administratives défilent pour présenter les condoléances les plus attristées à la famille éplorée alors qu’elles n’ont rien fait pour sauver l’artiste moribond.