L'hôpital général de Soubré qui d'habitude grouille de monde s'est vidé depuis deux jours à cause de la grève lancée par le Syndicat national des cadres supérieurs de la santé de Côte d'Ivoire (Synacass-ci) et 8 autres syndicats des personnels techniques de la santé.
“Je préfère me confier à la médecine traditionnelle car voilà deux jours que nous ne pouvons plus nous soigner à l'hôpital de Soubré. En tout c'est nous les pauvres qui souffrons car eux et et leurs familles se soignent en clinique”, a déclaré Mme Yao Yvette venue de Méagui et qui souffrait de maux de ventre. Les consultations ayant été arrêtées les malades qui arrivent rebroussent chemin. Seuls ceux qui sont déjà internés reçoivent des soins des infirmiers qui assurent le service minimum. “Les malades dès qu'ils arrivent et constatent qu'il n'a pas de consultations, retournent. Il faut signaler que le service minimum est assuré. Donc ils peuvent toujours venir”, a indiqué le directeur de l'hôpital général de la ville, M. Kpaho Bernard.
Symphorien Robalé
“Je préfère me confier à la médecine traditionnelle car voilà deux jours que nous ne pouvons plus nous soigner à l'hôpital de Soubré. En tout c'est nous les pauvres qui souffrons car eux et et leurs familles se soignent en clinique”, a déclaré Mme Yao Yvette venue de Méagui et qui souffrait de maux de ventre. Les consultations ayant été arrêtées les malades qui arrivent rebroussent chemin. Seuls ceux qui sont déjà internés reçoivent des soins des infirmiers qui assurent le service minimum. “Les malades dès qu'ils arrivent et constatent qu'il n'a pas de consultations, retournent. Il faut signaler que le service minimum est assuré. Donc ils peuvent toujours venir”, a indiqué le directeur de l'hôpital général de la ville, M. Kpaho Bernard.
Symphorien Robalé
