L'Indonésie est le pays musulman le plus peuplé du monde avec ses 230 millions d'habitants. Ce pays possède le quota le plus important du pèlerinage avec 200.000 pèlerins. Il est suivi de l'Iran, du Pakistan, de l'Egypte et de la Turquie. Si l'Indonésie transporte sans difficultés ses pèlerins à la Mecque, elle le doit, supposons le, au fait d'avoir l'une des plus grande compagnie aérienne du monde, la Garuda Indonésia.
Alors, nous posons la question suivante : pourquoi la Côte d'Ivoire n'approche pas ce pays, avec lequel elle a en partage la production du cacao, du café, de l'hévéa, pour s'informer de son expertise dans le domaine du transport des pèlerins. Ce ne sont pas 200.000 pèlerins qu'on demande à la Côte d'Ivoire de transporter en aller et retour à la Mecque. Ce ne sont que 4.000 pèlerins. Et elle éprouve du mal à le faire chaque année, malgré toutes les résolutions qu'elle prend.
En ce qui concerne le Conseil Supérieur des Imams (COSIM), il a tenu une réunion le 1er et le 7 février dernier à la grande mosquée de la Riviera.
« Le Cosim n'est mêlé ni de loin ni de prêt à la gestion financière du Hadj », a déclaré à cette occasion le Cheick El Aïma Boikary Fofana. Certes, le pèlerinage de cette année avait été bien entamé mais, le retour a connu quelques difficultés. A Médine tout comme à la Mecque, les Ivoiriens se réjouissaient d'être logés à proximité des lieux de cultes. « Il ne faut pas vendre les défenses de l'éléphant avant de l'avoir tué », dit-on. Hélas ! Au moment où on croyait avoir fait le plus difficile, l'avionneur Corsair a rompu unilatéralement le contrat qui le liait à Air Ivoire. Motif invoqué : il n'était plus en mesure d'attendre les pèlerins Ivoiriens à Djeddah.
A partir de ce moment là, le retour a été un vrai calvaire pour les avions de 130 à 160 places. Il est souhaitable que les concertations qui ont commencées aillent le plus loin possible. Afin que les souffrances endurées par nos pèlerins ne se renouvellent pas.
Alors, nous posons la question suivante : pourquoi la Côte d'Ivoire n'approche pas ce pays, avec lequel elle a en partage la production du cacao, du café, de l'hévéa, pour s'informer de son expertise dans le domaine du transport des pèlerins. Ce ne sont pas 200.000 pèlerins qu'on demande à la Côte d'Ivoire de transporter en aller et retour à la Mecque. Ce ne sont que 4.000 pèlerins. Et elle éprouve du mal à le faire chaque année, malgré toutes les résolutions qu'elle prend.
En ce qui concerne le Conseil Supérieur des Imams (COSIM), il a tenu une réunion le 1er et le 7 février dernier à la grande mosquée de la Riviera.
« Le Cosim n'est mêlé ni de loin ni de prêt à la gestion financière du Hadj », a déclaré à cette occasion le Cheick El Aïma Boikary Fofana. Certes, le pèlerinage de cette année avait été bien entamé mais, le retour a connu quelques difficultés. A Médine tout comme à la Mecque, les Ivoiriens se réjouissaient d'être logés à proximité des lieux de cultes. « Il ne faut pas vendre les défenses de l'éléphant avant de l'avoir tué », dit-on. Hélas ! Au moment où on croyait avoir fait le plus difficile, l'avionneur Corsair a rompu unilatéralement le contrat qui le liait à Air Ivoire. Motif invoqué : il n'était plus en mesure d'attendre les pèlerins Ivoiriens à Djeddah.
A partir de ce moment là, le retour a été un vrai calvaire pour les avions de 130 à 160 places. Il est souhaitable que les concertations qui ont commencées aillent le plus loin possible. Afin que les souffrances endurées par nos pèlerins ne se renouvellent pas.
