L’Ecole de la paix de Côte d’Ivoire a organisé une conférence-débat ,du samedi au dimanche dernier, au Centre de recherche (CERAP) sur le rôle et la place des femmes dans la société ivoirienne.
Les participants venus de diverses couches sociales, ont partagé leurs expériences en vue de trouver ensemble le moyen d’intégrer davantage les femmes dans les instances de décision. C’est à ce titre que Mme Mathilde Dubesset, historienne Française, a instruit l’assistance sur l’expérience des Françaises qui ont, tout comme celles du monde entier commencé leur intégration en se regroupant en association.
«Les femmes en France étaient portées sur les travaux ménagers et ne s’intéressaient pas à la politique et à l’évolution de la société. Mais par la suite elles ont compris qu’elles ne devaient pas rester en marge des instances de décisions, et ont formé des associations en vue de participer à la vie de la société», a expliqué Mathilde Dubesset.
Pour elle, la peur, le manque de confiance en soi, sont les deux éléments qui poussent les femmes à se sentir incapables d’assumer de hautes responsabilités dans la société.
«L’un des freins chez les femmes, c’est la pensée qu’elles ont d’elles-mêmes. Elles ne se sentent pas alors capables d’assumer de haute responsabilités», a-t-elle soutenu.
Madame le ministre Angèle Gnonsoa a remercié tous les participants pour l’importance qu’ils ont accordé, à cette conférence-débat, qui, selon elle, permettra d’établir des bases de données pour qu’il y ait plus de femmes dans les instances de décisions en Côte d’Ivoire. «Le problème de l’intégration de la femme dans la vie politique est une réalité dans tous les pays, même si le taux est revu à la hausse depuis un certain temps. Il ne faut pas baisser les bras et trouver les voies et moyens pour qu’elles le soient encore davantage», a souligné la ministre Angèle Gnonsoa.
Paule Aléa Tanoh stagiaire
Les participants venus de diverses couches sociales, ont partagé leurs expériences en vue de trouver ensemble le moyen d’intégrer davantage les femmes dans les instances de décision. C’est à ce titre que Mme Mathilde Dubesset, historienne Française, a instruit l’assistance sur l’expérience des Françaises qui ont, tout comme celles du monde entier commencé leur intégration en se regroupant en association.
«Les femmes en France étaient portées sur les travaux ménagers et ne s’intéressaient pas à la politique et à l’évolution de la société. Mais par la suite elles ont compris qu’elles ne devaient pas rester en marge des instances de décisions, et ont formé des associations en vue de participer à la vie de la société», a expliqué Mathilde Dubesset.
Pour elle, la peur, le manque de confiance en soi, sont les deux éléments qui poussent les femmes à se sentir incapables d’assumer de hautes responsabilités dans la société.
«L’un des freins chez les femmes, c’est la pensée qu’elles ont d’elles-mêmes. Elles ne se sentent pas alors capables d’assumer de haute responsabilités», a-t-elle soutenu.
Madame le ministre Angèle Gnonsoa a remercié tous les participants pour l’importance qu’ils ont accordé, à cette conférence-débat, qui, selon elle, permettra d’établir des bases de données pour qu’il y ait plus de femmes dans les instances de décisions en Côte d’Ivoire. «Le problème de l’intégration de la femme dans la vie politique est une réalité dans tous les pays, même si le taux est revu à la hausse depuis un certain temps. Il ne faut pas baisser les bras et trouver les voies et moyens pour qu’elles le soient encore davantage», a souligné la ministre Angèle Gnonsoa.
Paule Aléa Tanoh stagiaire