Marquer une pause, se retrouver, pour se parler, pour s’interroger sur sa vie, sur son environnement professionnel, sur les défis qui nous attendent… ». C’est autour de cette idée que le Collectif pour la sauvegarde des valeurs morales et le Réseau des femmes journalistes de Côte d’Ivoire (Réfjci) se sont réunis, mardi dernier. A tour de rôle, les panélistes, Mme Agnès Kraidy, rédactrice en chef central de Fraternité Matin et présidente du Réfjci, Dr Eliane Ekra et Rosine Diodan, journaliste et enseignante, ont exploré, chacune, un angle du thème : «Femme journaliste : quelle est ta mission». La première, avec la verve qu’on lui connaît, souhaite une promotion des femmes, notamment celles qui le méritent sans baigner dans le féminisme. Elle a par ailleurs mis un point d’honneur sur les qualités à avoir en exhortant ses jeunes consœurs à être de bonnes journalistes, en étant habitées par la curiosité ; portées par la quête de connaissances; passionnées par leur profession. Pour Agnès Kraidy, le plus important est de bien faire son métier, en étant fière de ce qu’on est.
Quant à Rosine Diodan, elle s’est félicitée de la présence de plus en plus croissante des femmes dans la corporation. Raison pour laquelle, elle leur recommande de bien se former, d’être solidaires, de travailler avec rigueur et sérieux.
Pour Dr Eliane Ekra, du Collectif pour la sauvegarde des valeurs morales, la femme a un rôle précis ; et sa première compétence s’exerce dans le foyer. Selon cette dernière, la femme construit l’homme et son apport est inestimable. C’est pourquoi, «quand la famille va mal, la société en pâti». Elle préconise que la femme journaliste sache associer et l’extérieur (son travail) et le foyer.
Pilier de la famille, la femme continue d’assumer cette responsabilité dans son média, car cette fois, souligne-t-elle, c’est toute la société qu’elle éduque, en l’informant et en la formant, à travers ses écrits. Fort de ce constat, la femme journaliste, selon Dr. Ekra, dotée d’intelligence et de volonté, doit mener harmonieusement sa vie de femme et de journaliste.
Cette rencontre a eu pour cadre, le Centre culturel de formation de la femme situé à la Riviera Bonoumin.
Marie Chantal Obindé
Quant à Rosine Diodan, elle s’est félicitée de la présence de plus en plus croissante des femmes dans la corporation. Raison pour laquelle, elle leur recommande de bien se former, d’être solidaires, de travailler avec rigueur et sérieux.
Pour Dr Eliane Ekra, du Collectif pour la sauvegarde des valeurs morales, la femme a un rôle précis ; et sa première compétence s’exerce dans le foyer. Selon cette dernière, la femme construit l’homme et son apport est inestimable. C’est pourquoi, «quand la famille va mal, la société en pâti». Elle préconise que la femme journaliste sache associer et l’extérieur (son travail) et le foyer.
Pilier de la famille, la femme continue d’assumer cette responsabilité dans son média, car cette fois, souligne-t-elle, c’est toute la société qu’elle éduque, en l’informant et en la formant, à travers ses écrits. Fort de ce constat, la femme journaliste, selon Dr. Ekra, dotée d’intelligence et de volonté, doit mener harmonieusement sa vie de femme et de journaliste.
Cette rencontre a eu pour cadre, le Centre culturel de formation de la femme situé à la Riviera Bonoumin.
Marie Chantal Obindé