Tout ce qui s’assemble, se ressemble. Ce dicton a trouvé tout son sens hier dans la salle du Conseil de l’Université de Cocody où la communauté universitaire recevait Cheick Modibo Diarra. Lui-même universitaire de haut vol et Directeur- Afrique de la multinationale Microsoft. « Pour que l’Afrique fasse un bond qualitatif dans le développement, il faut ajouter une plus value à la jeunesse, en lui facilitant l’accès "aux machines" (l’ordinateur et les logiciels). En cela, loin de faire de la publicité, Microsoft offre plusieurs opportunités à l’Afrique. Car, le problème de l’Afrique, c’est celui du déficit d’accès à la technologie », a-t-il expliqué aux universitaires variés selon les Unités de Formation et de Recherche qu’abrite l’institution. Bien avant, Professeur Téa Gokou, Président de l’Université, avait souhaité le traditionnel "Akwaba" (bienvenue) à l’illustre hôte qui, selon lui, est « un soldat du développement qui fait la fierté de l’Afrique dont les étudiants africains devraient s’inspirer pour impulser la marche en avant du continent Noir».
Les échanges, qui s’en ont suivi, ont permis, à Cheick Modibo Diarra, d’exhorter les universitaires ivoiriens "éminences grises de conception de l’avenir du pays", à encourager « l’immersion des étudiants au plus profond de la quête du savoir technologique». Il a donné l’exemple d’une application réalisée en Ouganda. Dans ce pays, selon les dires de M. Diarra, Microsoft a financé un jeune homme pour le reconditionnement de dix mille ordinateurs Pentium 4 auxquels ont été incorporés des logiciels. Et ces machines sont vendues à un coût minime pour vulgariser l’outil informatique. Ensuite, M. Ballo Bi Toto a présenté l’Université de Cocody étendue sur 197 hectares, avec ses 16 UFR et structures, ses 1343 enseignants et plus de 15 milles étudiants.
La visite guidée des infrastructures informatiques dont le "Computer room", a permis à l’hôte de se rendre compte que l’informatisation du temple du savoir de Cocody est encore à l’étape embryonnaire.
Jean- Antoine Doudou
Les échanges, qui s’en ont suivi, ont permis, à Cheick Modibo Diarra, d’exhorter les universitaires ivoiriens "éminences grises de conception de l’avenir du pays", à encourager « l’immersion des étudiants au plus profond de la quête du savoir technologique». Il a donné l’exemple d’une application réalisée en Ouganda. Dans ce pays, selon les dires de M. Diarra, Microsoft a financé un jeune homme pour le reconditionnement de dix mille ordinateurs Pentium 4 auxquels ont été incorporés des logiciels. Et ces machines sont vendues à un coût minime pour vulgariser l’outil informatique. Ensuite, M. Ballo Bi Toto a présenté l’Université de Cocody étendue sur 197 hectares, avec ses 16 UFR et structures, ses 1343 enseignants et plus de 15 milles étudiants.
La visite guidée des infrastructures informatiques dont le "Computer room", a permis à l’hôte de se rendre compte que l’informatisation du temple du savoir de Cocody est encore à l’étape embryonnaire.
Jean- Antoine Doudou
