Elle a été directeur général de SIFCA-COOP. Mais sentant le danger venir, elle a vite rendu sa démission pour se retrancher en France. Elle, c’est Joëlle Adou. Depuis vendredi, elle est à la MACA où elle a rejoint les dirigeants de la filière café-cacao qui y sont depuis bientôt 9 mois sans être situés sur leur sort.
Joëlle Adou n’était pas que directeur général de SIFCACOOP. Elle est aussi connue comme l’amante de Henri Amouzou, patron du FDPCC avec qui elle a deux enfants et qui se trouve aussi à la MACA. Elle avait été nommée par son homme à la tête de SIFCACOOP, une structure qui faisait l’achat du café et cacao. Celle qui séjourne désormais à la MACA était, dit-on, chargée de gérer tous les biens d’Amouzou. Mais pour échapper aux poursuites qui pointaient à l’horizon, elle a vite fait de rendre sa démission et se retirer de la filière. Elle faisait des va-et-vient entre la France et la Côte d’Ivoire pour gérer les biens et suivre les réalisations de son mari. Oubliant que la justice était sur ses traces. Elle a donc été épinglée et écrouée à la MACA. Toujours selon nos sources, après l’arrestation des premiers responsables, la justice s’engage à arrêter les dirigeants des coopératives qui ont bénéficié de prêts sans les avoir remboursés.
Le feuilleton suit son cours dans la filière café-cacao.
Benjamin Koré benjaminkore@yahoo.fr
Joëlle Adou n’était pas que directeur général de SIFCACOOP. Elle est aussi connue comme l’amante de Henri Amouzou, patron du FDPCC avec qui elle a deux enfants et qui se trouve aussi à la MACA. Elle avait été nommée par son homme à la tête de SIFCACOOP, une structure qui faisait l’achat du café et cacao. Celle qui séjourne désormais à la MACA était, dit-on, chargée de gérer tous les biens d’Amouzou. Mais pour échapper aux poursuites qui pointaient à l’horizon, elle a vite fait de rendre sa démission et se retirer de la filière. Elle faisait des va-et-vient entre la France et la Côte d’Ivoire pour gérer les biens et suivre les réalisations de son mari. Oubliant que la justice était sur ses traces. Elle a donc été épinglée et écrouée à la MACA. Toujours selon nos sources, après l’arrestation des premiers responsables, la justice s’engage à arrêter les dirigeants des coopératives qui ont bénéficié de prêts sans les avoir remboursés.
Le feuilleton suit son cours dans la filière café-cacao.
Benjamin Koré benjaminkore@yahoo.fr
