Abidjansurseine - Un important réseau de piraterie de musique ivoirienne vient d’être démanteler à Saint Ouen (93) en banlieue parisienne. Dans le box n° 225 du stocker “une pièce en plus” sis au 45, avenue Michelet 93400 Saint Ouen, non loin de la porte de Clignancourt, la police française a découvert un stock impressionnant de dvd contrefaits d’artistes ivoiriens.
Inox production, propriétaire du box est rapidement passé aux aveux : “C’est Camara Norgil, Chef de service production et antenne de RTI-Music (Régie de la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne) qui me vend tous les clips des tubes que je produis”. L’un des auteurs de la piraterie des œuvres de l’esprit en Côte d’Ivoire vient ainsi d’être démasqué.
Sur une main courante de Stanyvo production et une plainte en bonne et due forme de l’ensemble des artistes piratés que sont Meiway, Adé Liz, Justin Stanislas et la liste s’allonge, la direction de RTI-Music et particulièrement le sieur Norgil Camara auront à répondre de ses actes devant un tribunal.
A la justice française de faire respecter le droit de nos artistes dont les créations sont sans cesse piratées par des voyous car c’est ainsi que l’on doit les appeler. Il est inadmissible que des responsables d’une institution comme la télévision ivoirienne s’adonnent à de tels actes alors que leur première mission est de défendre la culture ivoirienne.
Cette fois, les artistes ivoiriens de France veulent frapper très fort.
Inox production, propriétaire du box est rapidement passé aux aveux : “C’est Camara Norgil, Chef de service production et antenne de RTI-Music (Régie de la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne) qui me vend tous les clips des tubes que je produis”. L’un des auteurs de la piraterie des œuvres de l’esprit en Côte d’Ivoire vient ainsi d’être démasqué.
Sur une main courante de Stanyvo production et une plainte en bonne et due forme de l’ensemble des artistes piratés que sont Meiway, Adé Liz, Justin Stanislas et la liste s’allonge, la direction de RTI-Music et particulièrement le sieur Norgil Camara auront à répondre de ses actes devant un tribunal.
A la justice française de faire respecter le droit de nos artistes dont les créations sont sans cesse piratées par des voyous car c’est ainsi que l’on doit les appeler. Il est inadmissible que des responsables d’une institution comme la télévision ivoirienne s’adonnent à de tels actes alors que leur première mission est de défendre la culture ivoirienne.
Cette fois, les artistes ivoiriens de France veulent frapper très fort.