Le Directeur général de l’Inphb, Pr Ado Gossan, se dit dépassé par cette grève des étudiants, car sa porte ne leur a jamais été fermée. Mieux, celui-ci dit avoir échangé vendredi dernier, avec les responsables des différentes associations des étudiants. C’est vrai, a-t-il précisé, tous les points n’ont pu trouver satisfaction, mais les plus importants ont été résolus et seront exécutés dans les jours qui suivent.
A savoir, le paiement des bourses par une banque de la place, dès que la décision est signée au niveau du ministère. Même si les fonds ne sont pas mis en place. Au niveau de la sécurité, les serrures des chambres, au nombre de 3008, seront changées dans les plus brefs délais. Mais, explique le DG, il va falloir libérer les étudiants le temps que les ouvriers commis à la tâche s’en occupent. Sur la question des chambres qui sont attribuées à d’autres personnes dès que les étudiants partent en stage, le patron de l’Inphb a reconnu l’erreur du secrétariat général. Il a assuré qu’instruction a été donnée pour que cela soit corrigé.
Au niveau de la restauration, Pr Ado Gossan a indiqué que les défaillances constatées sont dues au fait que l’opérateur qui en a la charge semble essoufflé financièrement, car l’Etat ne paie pas ses prestations à cause de ses difficultés de trésorerie. Toutefois, persiste-t-il, il n’est pas possible d’ouvrir un espace gastronomique, comme le souhaitent certains. Et d’ajouter que l’ouverture des activités libres n’est pas pour maintenant. Car elles avaient engendré d’autres problèmes. Elles étaient devenues pratiquement un village, des familles entières (des personnes qui ne sont pas étudiants) y vivaient. Déplorant cette grève, Pr Ado Gossan a souhaité que les étudiants ne montrent pas leur village de la main gauche. En d’autres termes, qu’ils ne ternissent pas l’image de l’Inphb qui est une référence en Afrique et dans le monde. Ses enseignants font partie des meilleurs et les étudiants qui en sortent ont toujours excellé en entreprise. C’est pourquoi, il les invite à reprendre les cours. Car il y va de leur avenir et de l’intérêt du pays. « Nous ne pouvons agir que selon nos moyens. L’Inphb ne peut vivre au-dessus de ses moyens », a-t-il plaidé, pour signifier que les difficultés constatées par moments sont liées aux problèmes de trésorerie de l’Etat.
K. Kouamé
Correspondant régional
A savoir, le paiement des bourses par une banque de la place, dès que la décision est signée au niveau du ministère. Même si les fonds ne sont pas mis en place. Au niveau de la sécurité, les serrures des chambres, au nombre de 3008, seront changées dans les plus brefs délais. Mais, explique le DG, il va falloir libérer les étudiants le temps que les ouvriers commis à la tâche s’en occupent. Sur la question des chambres qui sont attribuées à d’autres personnes dès que les étudiants partent en stage, le patron de l’Inphb a reconnu l’erreur du secrétariat général. Il a assuré qu’instruction a été donnée pour que cela soit corrigé.
Au niveau de la restauration, Pr Ado Gossan a indiqué que les défaillances constatées sont dues au fait que l’opérateur qui en a la charge semble essoufflé financièrement, car l’Etat ne paie pas ses prestations à cause de ses difficultés de trésorerie. Toutefois, persiste-t-il, il n’est pas possible d’ouvrir un espace gastronomique, comme le souhaitent certains. Et d’ajouter que l’ouverture des activités libres n’est pas pour maintenant. Car elles avaient engendré d’autres problèmes. Elles étaient devenues pratiquement un village, des familles entières (des personnes qui ne sont pas étudiants) y vivaient. Déplorant cette grève, Pr Ado Gossan a souhaité que les étudiants ne montrent pas leur village de la main gauche. En d’autres termes, qu’ils ne ternissent pas l’image de l’Inphb qui est une référence en Afrique et dans le monde. Ses enseignants font partie des meilleurs et les étudiants qui en sortent ont toujours excellé en entreprise. C’est pourquoi, il les invite à reprendre les cours. Car il y va de leur avenir et de l’intérêt du pays. « Nous ne pouvons agir que selon nos moyens. L’Inphb ne peut vivre au-dessus de ses moyens », a-t-il plaidé, pour signifier que les difficultés constatées par moments sont liées aux problèmes de trésorerie de l’Etat.
K. Kouamé
Correspondant régional