Y’a-t-il encore une forêt ivoirienne ? Le constat fait par les spécialistes est plus que reversant.
Selon la FAO, la Côte d’Ivoire ne disposerait aujourd’hui que d’un million d’hectares de forêt noire. Au centre de cette réduction ou diminution dramatique, des opérateurs économiques Libanais tels que Khalil Zein Moustapha Dégali, Imad Ghandour. Et bien entendu la société de droit français Thanry et la SNTRA ( Société Non Transport). Qui passent outre les recommandations du DG de la SODEFOR quant à la gestion de la forêt pour avoir pour seul interlocuteur, Dr Aka Ahizi Daniel.
L’état de Côte d’Ivoire a toujours déployé des efforts constants pour enrayer la diminution de la forêt avec la mise en place de l’administration des Eaux et Forêts et la création de la SODEFOR en 1996. Mais curieusement, c’est la tutelle du Ministère de l’Environnement, des Eaux et Forêts qui va contribuer avec l’avènement des cadres du PIT à la tête de ce département avec le pillage de nos forêts. La situation actuelle constateé est la poursuite de manière effrénée de la diminution de la superficie de la forêt ivoirienne qui est aggravée par les effets de la guerre qui a été déclenchée dans la nuit du 18 au 19 Septembre 2002 et qui perdure. Des esprits makis ou des exploitants forestiers véreux comme Paul Thanry, Khalil Zein, Moustapha Dégali, Imad Ghandour se frottent les mains. Et souhaitent en privé que la guerre se poursuive pour s’adonner à leur sale besogne, le pillage systématique des forêts ivoiriennes et qui leur délivre sans insouciance et en dehors des normes requises des permis d’exploitation. Moyennant d’importants pots de vin.
C’est ce à quoi se sont adonnés la société Thanry, Khalil Zein, Moustapha Dégali et Imad Ghandour. Pour tout ces deux opérateurs économiques ont déclaré faillite depuis belle lurette. Histoire, selon leur entendement d’échapper au fisc Ivoirien par de fausses déclarations de faillite pour continuer allègrement à casser du sucre sur le dos du contribuable ivoirien. Feh Kessé Lambert, le Directeur Général des impôts et ses agents devraient aller voir du côté de la société des exploitants forestiers qui s’appellent Moustapha Dégali, Imad Ghandour, Nour Transport qui se paient leur tête en simulant une faillite alors qu’ils sont toujours en activité.
Ce qui fâche, c’est l’exploitation des périmètres se poursuit sans autre forme de procès dans les zones CNO même pendant la période de guerre.
Pourquoi n’a-t-on pas pris des mesures au niveau national pour arrêter le trafic des tecks dans les forêts de la zone CNO ? Violente question à laquelle ne peuvent répondre aujourd’hui ni le Ministre de tutelle Dr. Daniel Aka Ahizi qui n’est pas sans reproches dans la collaboration sans bruits entre les rebelles de Soro dans ces zones CNO et les pilleurs que sont Paul Thanry, Khalil Zein, Moustapha Dégali, Imad Ghandour. Le ministre de tutelle monnayerait tous les contrats d’exploitation. Même les forêts classées n’échappent pas à leurs crimes économiques ou commerce frauduleux.
Aka Ahizi s’opposerait vigoureusement aujourd’hui au recrutement de jeunes des villages environnants les forêts dans le cadre du renforcement de la surveillance du patrimoine forestier conseillé par le DG de la SODEFOR pour perpétuer ce trafic honteux qui l’arrange. Avec le Dr Daniel Aka Ahizi en tête des Libanais qui prospèrent dans la filière bois, selon les informations en notre possession, seraient en train de préparer l’exploitation frauduleuse du parc de la marahoué (Bouaflé). C’est M. Kouassi Kouadio Mermoz, le Directeur de Cabinet du ministre des Eaux et Forêts et son Adjoint, le sieur N’Goulé Kouamé Bédiabé qui gèrent ce dossier avant d’acheminer le fruit des transactions commerciales au ministre lui- même. Et c’est ni vu, ni connu. Un autre complice, un certain Camara se chargerait de tracer des voies pour le transport du bois coupé frauduleusement des zones d’exploitation jusqu’à la grande voie.
Silence, le Ministre des Eaux et Forêts est entrain de préparer le désert en côte d’Ivoire. Vivement que le préfet de région, Al Hassana, Préfet du département de Bouaflé saisisse promptement le Chef de l’Etat, SEM Laurent Gbagbo pour mettre fin à la destruction de notre patrimoine forestier.
Guy Roland
Selon la FAO, la Côte d’Ivoire ne disposerait aujourd’hui que d’un million d’hectares de forêt noire. Au centre de cette réduction ou diminution dramatique, des opérateurs économiques Libanais tels que Khalil Zein Moustapha Dégali, Imad Ghandour. Et bien entendu la société de droit français Thanry et la SNTRA ( Société Non Transport). Qui passent outre les recommandations du DG de la SODEFOR quant à la gestion de la forêt pour avoir pour seul interlocuteur, Dr Aka Ahizi Daniel.
L’état de Côte d’Ivoire a toujours déployé des efforts constants pour enrayer la diminution de la forêt avec la mise en place de l’administration des Eaux et Forêts et la création de la SODEFOR en 1996. Mais curieusement, c’est la tutelle du Ministère de l’Environnement, des Eaux et Forêts qui va contribuer avec l’avènement des cadres du PIT à la tête de ce département avec le pillage de nos forêts. La situation actuelle constateé est la poursuite de manière effrénée de la diminution de la superficie de la forêt ivoirienne qui est aggravée par les effets de la guerre qui a été déclenchée dans la nuit du 18 au 19 Septembre 2002 et qui perdure. Des esprits makis ou des exploitants forestiers véreux comme Paul Thanry, Khalil Zein, Moustapha Dégali, Imad Ghandour se frottent les mains. Et souhaitent en privé que la guerre se poursuive pour s’adonner à leur sale besogne, le pillage systématique des forêts ivoiriennes et qui leur délivre sans insouciance et en dehors des normes requises des permis d’exploitation. Moyennant d’importants pots de vin.
C’est ce à quoi se sont adonnés la société Thanry, Khalil Zein, Moustapha Dégali et Imad Ghandour. Pour tout ces deux opérateurs économiques ont déclaré faillite depuis belle lurette. Histoire, selon leur entendement d’échapper au fisc Ivoirien par de fausses déclarations de faillite pour continuer allègrement à casser du sucre sur le dos du contribuable ivoirien. Feh Kessé Lambert, le Directeur Général des impôts et ses agents devraient aller voir du côté de la société des exploitants forestiers qui s’appellent Moustapha Dégali, Imad Ghandour, Nour Transport qui se paient leur tête en simulant une faillite alors qu’ils sont toujours en activité.
Ce qui fâche, c’est l’exploitation des périmètres se poursuit sans autre forme de procès dans les zones CNO même pendant la période de guerre.
Pourquoi n’a-t-on pas pris des mesures au niveau national pour arrêter le trafic des tecks dans les forêts de la zone CNO ? Violente question à laquelle ne peuvent répondre aujourd’hui ni le Ministre de tutelle Dr. Daniel Aka Ahizi qui n’est pas sans reproches dans la collaboration sans bruits entre les rebelles de Soro dans ces zones CNO et les pilleurs que sont Paul Thanry, Khalil Zein, Moustapha Dégali, Imad Ghandour. Le ministre de tutelle monnayerait tous les contrats d’exploitation. Même les forêts classées n’échappent pas à leurs crimes économiques ou commerce frauduleux.
Aka Ahizi s’opposerait vigoureusement aujourd’hui au recrutement de jeunes des villages environnants les forêts dans le cadre du renforcement de la surveillance du patrimoine forestier conseillé par le DG de la SODEFOR pour perpétuer ce trafic honteux qui l’arrange. Avec le Dr Daniel Aka Ahizi en tête des Libanais qui prospèrent dans la filière bois, selon les informations en notre possession, seraient en train de préparer l’exploitation frauduleuse du parc de la marahoué (Bouaflé). C’est M. Kouassi Kouadio Mermoz, le Directeur de Cabinet du ministre des Eaux et Forêts et son Adjoint, le sieur N’Goulé Kouamé Bédiabé qui gèrent ce dossier avant d’acheminer le fruit des transactions commerciales au ministre lui- même. Et c’est ni vu, ni connu. Un autre complice, un certain Camara se chargerait de tracer des voies pour le transport du bois coupé frauduleusement des zones d’exploitation jusqu’à la grande voie.
Silence, le Ministre des Eaux et Forêts est entrain de préparer le désert en côte d’Ivoire. Vivement que le préfet de région, Al Hassana, Préfet du département de Bouaflé saisisse promptement le Chef de l’Etat, SEM Laurent Gbagbo pour mettre fin à la destruction de notre patrimoine forestier.
Guy Roland