La Commission nationale de supervision de l’identification (Cnsi) a reçu, hier à son siège à la Riviera, une délégation du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp). Les échanges ont duré une heure et demie. Le président du directoire du Rhdp, Alphonse Djédjé Mady, a indiqué que cette visite de travail était guidée par un souci, celui, d’avoir une élection propre à travers une identification et un enrôlement sans suspicion.
«Il ne s’agit pas de fixer des dates en regardant en l’air. Il s’agit de voir comment l’opération d’identification et d’enrôlement peut être une réussite. Ce sont ces éléments que nous recherchons. Il faut poser aujourd’hui le problème et en rechercher les solutions. Car, il nous faut aller aux élections dans des conditions qui génèrent la paix après celles-ci. Il ne faut pas confondre vitesse et précipitation. Nous volons aller vite à des élections mais nous voulons aller à de bonnes élections. Si pouvons faire cette élection demain pour sortir la Côte d’Ivoire de la crise nous la ferons. Mais, si devons faire cette élections pour nous retrouver dans une situation beaucoup plus grave que celle que nous vivons il vaut mieux nous asseoir en hommes intelligents pour trouver les voies indiquées pour que les élections aient lieu vite et qu’elle amènent la paix dans le pays», a fait savoir le président du directoire des houphouétistes.
Il a indiqué, en outre, qu’il ne faudrait pas voir dans la démarche qui a conduit le Rhdp au siège de la Cnsi, une démarche conflictuelle mais une démarche plutôt mue par le souci d’aider les structures en charge du processus électoral à réussir leur mission.
«Il ne faut pas tout voir en terme de conflit. Nous pensons que les Ivoiriens ont un bien commun: c’est la Côte d’Ivoire », a-t-il dit.
Et de poursuivre: «Nous devons faire en sorte que quels que soient les problèmes nous puissions mettre ensemble notre énergie pour les régler. Nous avons rencontre la Cnsi non pas en terme conflictuel mais en terme d’échange pour ressortir les avancées et les retards».
Le président du directoire a rappelé, à cet effet, le rôle non moins important que joue la Cnsi dans la certification de l’identification et partant dans le processus électoral.
«Nous avons donc essayé de comprendre les difficultés de la Cnsi par des éclairages nécessaires afin de trouver une stratégie de conjugaison de nos efforts pour que toutes les structures qui interviennent dans la gestion de la crise contribuent à une sortie de crise positive et ce dans les délais les plus brefs sans pour autant sacrifier le processus en cours, car la Côte d’Ivoire souffre», a-t-il fait remarquer. Djédjé Mady a déploré que jusque-là et malgré la rallonge du délai de deux semaines des centres n’ont encore pas reçu la visite des agents d’identification.
K. Marras. D
«Il ne s’agit pas de fixer des dates en regardant en l’air. Il s’agit de voir comment l’opération d’identification et d’enrôlement peut être une réussite. Ce sont ces éléments que nous recherchons. Il faut poser aujourd’hui le problème et en rechercher les solutions. Car, il nous faut aller aux élections dans des conditions qui génèrent la paix après celles-ci. Il ne faut pas confondre vitesse et précipitation. Nous volons aller vite à des élections mais nous voulons aller à de bonnes élections. Si pouvons faire cette élection demain pour sortir la Côte d’Ivoire de la crise nous la ferons. Mais, si devons faire cette élections pour nous retrouver dans une situation beaucoup plus grave que celle que nous vivons il vaut mieux nous asseoir en hommes intelligents pour trouver les voies indiquées pour que les élections aient lieu vite et qu’elle amènent la paix dans le pays», a fait savoir le président du directoire des houphouétistes.
Il a indiqué, en outre, qu’il ne faudrait pas voir dans la démarche qui a conduit le Rhdp au siège de la Cnsi, une démarche conflictuelle mais une démarche plutôt mue par le souci d’aider les structures en charge du processus électoral à réussir leur mission.
«Il ne faut pas tout voir en terme de conflit. Nous pensons que les Ivoiriens ont un bien commun: c’est la Côte d’Ivoire », a-t-il dit.
Et de poursuivre: «Nous devons faire en sorte que quels que soient les problèmes nous puissions mettre ensemble notre énergie pour les régler. Nous avons rencontre la Cnsi non pas en terme conflictuel mais en terme d’échange pour ressortir les avancées et les retards».
Le président du directoire a rappelé, à cet effet, le rôle non moins important que joue la Cnsi dans la certification de l’identification et partant dans le processus électoral.
«Nous avons donc essayé de comprendre les difficultés de la Cnsi par des éclairages nécessaires afin de trouver une stratégie de conjugaison de nos efforts pour que toutes les structures qui interviennent dans la gestion de la crise contribuent à une sortie de crise positive et ce dans les délais les plus brefs sans pour autant sacrifier le processus en cours, car la Côte d’Ivoire souffre», a-t-il fait remarquer. Djédjé Mady a déploré que jusque-là et malgré la rallonge du délai de deux semaines des centres n’ont encore pas reçu la visite des agents d’identification.
K. Marras. D
