La Fesci (Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’ivoire) n’approuve pas la violence perpétrée par les enseignants grévistes dans les établissements scolaires.Mian Augustin le Sg du mouvement estudiantin a dénoncé la violence utilisée par les enseignants comme moyen de revendication lors d’une conférence de presse qu’il a animée hier à la cité rouge.Selon lui, les professeurs qui débrayent depuis lundi, agressent leurs collègues, qui ne suivent pas le mouvement de grève, à coups de gourdins. Cette attitude, a expliqué le conférencier, est de nature à compromettre l’avenir des élèves.
Pis, a-t-il regretté, les enseignants grévistes ont attaqué la Dren(Direction régionale de l’éducation nationale ) 1 et 2.Detruisant ainsi tous les dossiers des élèves. Face à ce qu’il qualifie de prise en otage de l’école, le patron de la Fesci s’est voulu clair. « La Fesci demande aux professeurs d’épargner les intérêts des élèves pendant leur grève. Nous ne pouvons pas accepter qu’ils sacrifient l’avenir des élèves à cause de leurs revendications corporatistes», a martelé Mian Augustin. Poursuivant, le successeur Serges Koffi a invité les grévistes à ne pas s’attaquer aux enseignants qui veulent dispenser les cours . « Si les professeurs qui font la grève veulent empêcher leurs collègues de travailler, ils nous trouveront sur leur chemin.Nous allons assurer la sécurité dans les établissement si cela continue. ».a-t-il conclu.
Zana Coulibaly
Pis, a-t-il regretté, les enseignants grévistes ont attaqué la Dren(Direction régionale de l’éducation nationale ) 1 et 2.Detruisant ainsi tous les dossiers des élèves. Face à ce qu’il qualifie de prise en otage de l’école, le patron de la Fesci s’est voulu clair. « La Fesci demande aux professeurs d’épargner les intérêts des élèves pendant leur grève. Nous ne pouvons pas accepter qu’ils sacrifient l’avenir des élèves à cause de leurs revendications corporatistes», a martelé Mian Augustin. Poursuivant, le successeur Serges Koffi a invité les grévistes à ne pas s’attaquer aux enseignants qui veulent dispenser les cours . « Si les professeurs qui font la grève veulent empêcher leurs collègues de travailler, ils nous trouveront sur leur chemin.Nous allons assurer la sécurité dans les établissement si cela continue. ».a-t-il conclu.
Zana Coulibaly