Le directeur du Centre régional ouest-africain d’action culturelle (Crac) de Lomé était l’hôte du ministre Augustin Komoé.
Le directeur général du Centre régional d’action culturelle (Crac), Kodjona Kadanga, a effectué une visite en Côte d’Ivoire. Il a été reçu en audience par le ministre de la Culture et de la Francophonie, Augustin Komoé, jeudi à son cabinet. Cette visite se situe dans le cadre de la signature de la convention liant ledit centre et l’Institut national des arts et de l’action culturelle (Insaac) et du suivi des étudiants ivoiriens issus du Crac.
Une séance de travail, présidée par James Houra, représentant le ministre Komoé malade, s’en est suivie.
Il a été question d’analyser les problèmes des étudiants formés par le Crac et dont certains n’ont pas été redéployés en vue de trouver des solutions. Les cinq étudiants concernés sont des enseignants et agents de la santé qui n’auraient pas eu, au préalable, l’accord de leurs différents ministères pour aller se former à Lomé au Crac. En principe, les instituteurs de la catégorie B3 après la formation reçue, devraient être redéployés et reclassés en A3. Mais à en croire les concernés, malgré les démarches entreprises, la fonction publique n’a pu donner une suite favorable à leur redéploiement. Afin de pouvoir résoudre ce problème, un comité de suivi a été mis sur pied. Il sera chargé de constituer les dossiers en vue de les remettre au ministre Augustin Komoé. Qui prendra attache avec son collègue Hubert Oulaye de la Fonction publique afin d’adopter des mesures exceptionnelles pour ces étudiants des 10e et 11e promotions du Crac.
A ce sujet, M. Kodjona Kadanga s’est réjoui de cette procédure.
Et pour éviter d’éventuels problèmes à l’avenir, il a été question dorénavant d’autoriser uniquement les étudiants ayant suivi une formation en culture à se présenter.
Les échanges ont également porté sur le partenariat entre le Crac et l’Insaac. Qui consiste à l’échange d’enseignants et d’élèves, à la soumission de projet et à la participation au jury et bien d’autres. C’est ce projet qui sera soumis au directeur de l’Insaac en vue de la signature de la convention, pour plus d’efficace.
Marie Chantal Obindé
Le directeur général du Centre régional d’action culturelle (Crac), Kodjona Kadanga, a effectué une visite en Côte d’Ivoire. Il a été reçu en audience par le ministre de la Culture et de la Francophonie, Augustin Komoé, jeudi à son cabinet. Cette visite se situe dans le cadre de la signature de la convention liant ledit centre et l’Institut national des arts et de l’action culturelle (Insaac) et du suivi des étudiants ivoiriens issus du Crac.
Une séance de travail, présidée par James Houra, représentant le ministre Komoé malade, s’en est suivie.
Il a été question d’analyser les problèmes des étudiants formés par le Crac et dont certains n’ont pas été redéployés en vue de trouver des solutions. Les cinq étudiants concernés sont des enseignants et agents de la santé qui n’auraient pas eu, au préalable, l’accord de leurs différents ministères pour aller se former à Lomé au Crac. En principe, les instituteurs de la catégorie B3 après la formation reçue, devraient être redéployés et reclassés en A3. Mais à en croire les concernés, malgré les démarches entreprises, la fonction publique n’a pu donner une suite favorable à leur redéploiement. Afin de pouvoir résoudre ce problème, un comité de suivi a été mis sur pied. Il sera chargé de constituer les dossiers en vue de les remettre au ministre Augustin Komoé. Qui prendra attache avec son collègue Hubert Oulaye de la Fonction publique afin d’adopter des mesures exceptionnelles pour ces étudiants des 10e et 11e promotions du Crac.
A ce sujet, M. Kodjona Kadanga s’est réjoui de cette procédure.
Et pour éviter d’éventuels problèmes à l’avenir, il a été question dorénavant d’autoriser uniquement les étudiants ayant suivi une formation en culture à se présenter.
Les échanges ont également porté sur le partenariat entre le Crac et l’Insaac. Qui consiste à l’échange d’enseignants et d’élèves, à la soumission de projet et à la participation au jury et bien d’autres. C’est ce projet qui sera soumis au directeur de l’Insaac en vue de la signature de la convention, pour plus d’efficace.
Marie Chantal Obindé