Laurent Gbagbo, président de la République de Côte d’Ivoire, va rencontrer vendredi prochain, les syndicats des enseignants du secondaire. Ainsi, le SYNESCI (les deux tendances), le Syndicat national des formateurs de l’enseignement technique et de la formation professionnelle (SYNAFETP-CI), le syndicat Solidarité de l’enseignement technique, la Coordination des enseignants du secondaire de Côte d’Ivoire (CES-CI) pourront de vive voix dire au premier des Ivoiriens ce qui les pousse à observer une grève illimitée depuis bientôt deux semaines. Paralysant toute l’école malgré l’appel à la reprise des ministres de la Fonction publique, de l’Education nationale et de l’enseignement technique, dimanche à la télévision première chaîne.
Hier, dans la ville d’Abidjan, Notre Voie a constaté que les salles de classes sont restées désespérément vides par manque d’enseignants. C’est dire que le mal est profond au point que même les sanctions pointées en filigrane par le gouvernement ne les a pas dissuadés. Une fois encore, le président Gbagbo va descendre dans la vallée pour régler un problème que ses ministres auraient pu résoudre s’ils avaient pris très tôt la mesure de la situation en entamant très tôt les discussions avec les syndicats.
Coulibaly Zié Oumar
Hier, dans la ville d’Abidjan, Notre Voie a constaté que les salles de classes sont restées désespérément vides par manque d’enseignants. C’est dire que le mal est profond au point que même les sanctions pointées en filigrane par le gouvernement ne les a pas dissuadés. Une fois encore, le président Gbagbo va descendre dans la vallée pour régler un problème que ses ministres auraient pu résoudre s’ils avaient pris très tôt la mesure de la situation en entamant très tôt les discussions avec les syndicats.
Coulibaly Zié Oumar
