Les agents d’Orange Côte d’Ivoire, plus de 500, selon les manifestants, ont pris massivement position hier matin, devant le siège de leur entreprise sis sur le boulevard Giscard d’Estaing. Ils sont ainsi passés aux actes après avoir annoncé, dans un courrier confidentiel adressé à leur direction Afrique Moyen Orient, dont Notre Voie a publié de larges extraits dans son édition d’hier, qu’ils allaient prendre “dès à présent toutes les mesures utiles et nécessaires afin qu’il (le directeur général Jean-Jacques de Pins) ne puisse plus accéder aux locaux de Orange-CI”. Hier, donc, M. Jean-Jacques Pins, le directeur commercial, M. Charles Gueret, et le directeur financier par intérim, M. François Couturier, n’ont pas pu avoir accès à leurs bureaux contraints qu’ils ont été de rester chez eux.
A en croire des sources, ils auraient fait appel au 43ème BIMA pour les faire entrer dans leurs bureaux en vain. Ce bataillon français les aurait renvoyés vers la Compagnie républicaine de sécurité (CRS). Selon un manifestant, les agents ont décidé de bloquer toute la direction pendant la demi journée d’hier. Ils ont donc repris le service dans l’après-midi. “Nous allons reprendre le même mouvement demain matin (aujourd’hui : ndlr)”, a révélé ce manifestant.
Par ailleurs, le conseil d’administration a dépêché M. Adom Roger, un des cadres de l’entreprise, pour prendre langue avec le personnel afin de recueillir ses préoccupations. En fait, l’après-midi a été consacrée aux négociations.
Coulibaly Zié Oumar
A en croire des sources, ils auraient fait appel au 43ème BIMA pour les faire entrer dans leurs bureaux en vain. Ce bataillon français les aurait renvoyés vers la Compagnie républicaine de sécurité (CRS). Selon un manifestant, les agents ont décidé de bloquer toute la direction pendant la demi journée d’hier. Ils ont donc repris le service dans l’après-midi. “Nous allons reprendre le même mouvement demain matin (aujourd’hui : ndlr)”, a révélé ce manifestant.
Par ailleurs, le conseil d’administration a dépêché M. Adom Roger, un des cadres de l’entreprise, pour prendre langue avec le personnel afin de recueillir ses préoccupations. En fait, l’après-midi a été consacrée aux négociations.
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