En dépit de la baisse du coût du carburant à la pompe, le prix du transport en taxi demeure toujours élevé.
Les usagers continuent, en effet, de payer 250 frs aux chauffeurs. Alors que le 16 février dernier, à l’issue d’une assemblée générale, le Collectif des syndicats de chauffeurs auxiliaires et taxis de Yamoussoukro (Csynca.ty) a revu à la baisse les coûts de transport. A l’instar de leurs camarades d’Abidjan.
Selon une circulaire dont copie nous a été remise, les réductions vont de 25 frs à 150 frs, selon les destinations. Ainsi pour les courses dans la ville, les tarifs passent de 250 frs à 225 frs comme prix officiel. Mais, celle-ci peut se négocier à 200 frs. Pour la banlieue, le prix officiel est désormais de 325 frs au lieu de 350 frs. Mais la course peut se négocier à 300 frs. «Dans tous les cas les chauffeurs ne doivent pas dépasser le prix officiel indiqué», a confié Diarrassouba Moussa, secrétaire général du Csyncaty. Mais force est de constater que la réalité du terrain est toute autre. La population n’en est pas informée et les conducteurs de taxi pour leur part, font fi de cette réduction. Tous les conducteurs de taxi interrogés, comme s’ils s’étaient passé le mot, disent ne pas être au courant de cette baisse.
Koffi Kouamé
Correspondant régional
Les usagers continuent, en effet, de payer 250 frs aux chauffeurs. Alors que le 16 février dernier, à l’issue d’une assemblée générale, le Collectif des syndicats de chauffeurs auxiliaires et taxis de Yamoussoukro (Csynca.ty) a revu à la baisse les coûts de transport. A l’instar de leurs camarades d’Abidjan.
Selon une circulaire dont copie nous a été remise, les réductions vont de 25 frs à 150 frs, selon les destinations. Ainsi pour les courses dans la ville, les tarifs passent de 250 frs à 225 frs comme prix officiel. Mais, celle-ci peut se négocier à 200 frs. Pour la banlieue, le prix officiel est désormais de 325 frs au lieu de 350 frs. Mais la course peut se négocier à 300 frs. «Dans tous les cas les chauffeurs ne doivent pas dépasser le prix officiel indiqué», a confié Diarrassouba Moussa, secrétaire général du Csyncaty. Mais force est de constater que la réalité du terrain est toute autre. La population n’en est pas informée et les conducteurs de taxi pour leur part, font fi de cette réduction. Tous les conducteurs de taxi interrogés, comme s’ils s’étaient passé le mot, disent ne pas être au courant de cette baisse.
Koffi Kouamé
Correspondant régional